De 2004 à 2007, la production de la pêche de l’UE (y compris l’aquaculture) a accusé une baisse de 11,5%. Cependant, la production aquacole n’a guère varié pendant cette période et la part relative de l’aquaculture dans la production totale de la pêche a légèrement augmenté, passant d’environ 18% à un peu plus de 20%.
77% de la production aquacole s’est effectuée en zone marine : 55% dans l'Atlantique et 22% dans la Méditerranée.
Moule, truite, saumon, huître,…
L’aquaculture européenne est représentée essentiellement par la conchyliculture et la pisciculture qui constituent respectivement 52% et 48% de la production aquacole totale :
- Coquillages : 677 318 tonnes (moules, huîtres, palourdes,…)
- Poissons : 629 867 tonnes (truites, saumon, bar, daurade, carpe, turbot, anguille,…)
- Crustacés : 213 tonnes (crevette, écrevisse,…)
- Algues : 60 tonnes (undaria,…)
Espagne, France, Italie, Royaume-Uni,…
L'Espagne est le premier producteur aquacole avec 284.982 tonnes, ce qui représente 22% de la production totale de l'aquaculture européenne. France est deuxième avec 237.451 tonnes et l'Italie troisième avec 180.988 tonnes.
L'Espagne a produit 217.775 tonnes de coquillages (principalement moules), 67.060 tonnes de poissons (principalement truite, bar et daurade), 122 tonnes de crustacés et 25 tonnes d'algues.
La France a produit 188.870 tonnes de coquillages (principalement huîtres et moules), 48.506 tonnes de poissons (principalement truites, bar et daurade), 40 tonnes de crustacés et 35 tonnes d'algues. Alors que l'Italie a produit 120.317 tonnes de coquillages (principalement moules) et 60.670 tonnes de poissons (principalement bar et daurade).
Les autres pays de l'UE d’importance aquacole : Royaume-Uni avec 174.200 tonnes (saumon, truite, moule), et la Grèce avec 113.188 tonnes (bar, daurade, moule)
Voir le document intégral d’Eurostat : Aquaculture Statistics - 2007 - Issue number 83/2009
Autres articles :
- Europe 2010 : Les chiffres de la Politique Commune de la Pêche
- Parlement Européen : Quel modèle d'aquaculture pour l'Europe ?
- Salmoniculture en France : élevage de truites
- Europe : Cap sur l'aquaculture industrielle !
Informations complémentaires sur la situation de l'aquaculture en Europe et dans le monde :
- Etude des performances économiques et de la compétitivité de l’aquaculture de l’Union Européenne (DG Mare) - Etude 3 dans le cadre du contrat cadre Lot 3 – études relatives à la mise en oeuvre du FEP - Rapport final - Décembre 2008
- FAO : Situation mondiale des pêches et de l’aquaculture en 2008
- Aquaculture: global status and trends / John Bostock, Brendan McAndrew, Randolph Richards, Kim Jauncey, Trevor Telfer, Kai Lorenzen, David Little, Lindsay Ross, Neil Handisyde, Iain Gatward and Richard Corner / Royal Society Publishing - 2010
- Aquaculture: global status and trends : Document de The Royal Society (Septembre 2010) / David Little, Lindsay Ross, Neil Handisyde, Iain Gatward and Richard CornerJohn Bostock, Brendan McAndrew, Randolph Richards, Kim Jauncey, Trevor Telfer, Kai Lorenzen,
- Definition of data collection needs for aquaculture / Reference No. FISH/2006/15 - Lot 6 / Final report - April 2009 / Part 2. : Feasibility assessment of an on-going data collection scheme for aquaculture
Piscicultures : Le poisson de demain (Cahiers d’Agriculture Volume 18, Number 2-3, mars-juin 2009)
Editorial : Elever des poissons pour nourrir la planète par Guy Paillotin. Cliquer Ici
Tous les chapitres (saumon, bar, tilapia, esturgeon, pangasius, génétique, alimentation,….) Cliquer Ici
Synthèse : Situation et perspectives de la pisciculture dans le monde : consommation et production (2009) par Bernard Chevassus-au-Louis et Jérôme Lazard
Résumé : Au cours des 30 dernières années, la consommation mondiale de protéines animales, relativement stable dans les pays développés, a plus que doublé dans les pays en développement. Cette croissance résulte, principalement, des productions de volailles, mais les produits aquatiques ont également apporté une contribution notable (passage de 6,3 à 13,8 kg par personne et par an), similaire à celle des porcins et très supérieure à celle des ruminants. Cette contribution des produits aquatiques résulte des pêcheries et, plus récemment, de la pisciculture. Le cas des pêcheries minotières fait l’objet d’une analyse spécifique du fait de l’utilisation croissante de ses produits par la pisciculture. La pisciculture, qui représente, depuis 1980, le plus fort taux de croissance de toutes les productions animales, est encore principalement basée sur des productions traditionnelles de poissons d’eau douce et de mollusques en zone côtière. Les différentes prospectives réalisées au début des années 2000 amènent à distinguer nettement la situation des pêcheries où le réexamen à la baisse des captures chinoises, la surexploitation de nombreux stocks et l’échec des politiques de restauration de certains stocks amènent à envisager des scénarios d’érosion progressive des captures totales, tant minotières qu’alimentaires. Dans le domaine de la pisciculture, la dynamique actuelle devrait, en revanche, se poursuivre, avec des taux de croissance sans doute plus modérés. La résultante de ces deux dynamiques devrait aboutir, à échéance 2020, à des contributions équivalentes des pêches (hors pêches minotières) et de l’aquaculture (hors algues) à l’alimentation mondiale, leur contribution totale par habitant n’augmentant pas sensiblement par rapport au niveau actuel.
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FAO. Les statistiques de la pêche et de l'aquaculture dans le monde en ligne
- Statistiques des pêches et de l’aquaculture 2008
- Production aquacole Huître par pays en 2008
- Production mytilicole par pays 2008
- Pétoncle
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FranceAgriMer 2011
Collection : Chiffres clés
Edition : Avril 2011
Flotte de pêche/Aquaculture
Importations / Exportations
Production
Entreprises
Echanges
Consommation
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Consommation des produits de la pêche et de l’aquaculture
Données statistiques 2010
FranceAgriMer 2011
Edition : Mai 2011
Consommation par habitant
Achats des ménages pour leur consommation à domicile en 2010 (Panel Kantar Worldpanel)
Analyse du marché en 2010
Tendances du marché depuis 2005
Structure du marché en 2010
Focus par espèce
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La production globale de poissons d’aquaculture a crû substantiellement au cours des dix dernières années, atteignant 52.2 millions de tonnes en 2008, par rapport aux 32.4 millions de tonnes enregistrées en 2000. L’aquaculture continue d’être le secteur de production animale à la croissance la plus forte, produisant aujourd’hui quasiment la moitié (45.6 pour cent) des poissons consommés, par rapport à 33.8 pour cent en 2000. Avec la stagnation de la pêche de capture et la croissance de la population au niveau mondial, l’aquaculture est vue comme ayant le potentiel le plus fort pour produire les quantités de poissons requises pour satisfaire une demande toujours plus grande pour des denrées alimentaires d’origine aquatique sures et de bonne qualité.
L'aquaculture est la source de protéines animales qui connaît la plus forte croissance à l'échelle mondiale et fournit actuellement près de la moitié du poisson consommé dans le monde, selon un rapport que vient de diffuser la FAO.
Le rapport, intitulé Etat de l'aquaculture dans le monde 2010, révèle que la production mondiale de poissons de l'aquaculture a augmenté de plus de 60 pour cent entre 2000 et 2008, passant de 32,4 millions de tonnes à 52,5 millions.
Il prévoit, d'autre part, que d'ici à 2012 plus de la moitié de la consommation mondiale de poissons proviendront de l'aquaculture.
"Alors que la production mondiale des pêches de capture stagne et que la population mondiale s'accroît, l'aquaculture est perçue comme ayant le meilleur potentiel de production de poissons pour satisfaire la demande croissante en produits aquatiques sains et de qualité", indique le rapport.
Atténuation de la pauvreté
Du fait de sa croissance en volume et en valeur, l'aquaculture a nettement contribué à l'atténuation de la pauvreté et à l'amélioration de la sécurité alimentaire dans de nombreuses parties du monde.
Mais l'aquaculture n'a pas augmenté uniformément sur notre planète. On observe, en effet, des différences marquées dans les niveaux de production et la composition des espèces et des systèmes agricoles au sein et entre les régions, ainsi que d'un pays à l'autre.
La région Asie-Pacifique domine la filière : en 2008, elle représentait 89,1 pour cent de la production mondiale, la Chine contribuant, à elle seule, à hauteur de 62,3 pour cent. Parmi les 15 principaux pays producteurs de l'aquaculture, 11 se trouvent dans cette région.
Quelques pays se taillent la part du lion en ce qui a trait à la production de certaines espèces majeures, notamment la Chine pour les carpes, la Chine, la Thaïlande, le Viet Nam, l'Indonésie et l'Inde pour les crevettes et la Norvège et le Chili pour le saumon.
Systèmes intensifs
En ce qui concerne les systèmes d'élevage, les systèmes intensifs sont plus répandus en Amérique du Nord et dans les pays producteurs d'Europe et d'Amérique latine qui pratiquent une aquaculture pointue. Dans la région Asie-Pacifique, en dépit de grandes évolutions techniques, la petite production commerciale reste l'épine dorsale de la filière.
Les petits producteurs et les petites et moyennes entreprises sont également des acteurs importants en Afrique. Et si la production commerciale et industrielle domine en Amérique latine, il existe un fort potentiel pour le développement de la production à petite échelle.
Alors que la demande pour les produits de l'aquaculture poursuit sa progression, on note une prise de conscience croissante de la nécessité de répondre aux préoccupations des consommateurs pour des produits de qualité et sains et pour la protection de la santé et du bien-être des animaux, selon le rapport.
Ainsi, des questions telles que la sécurité alimentaire, la traçabilité, la certification et l'étiquetage écologique prennent une importance croissante et sont considérées comme hautement prioritaires par de nombreux gouvernements.
Une bonne gouvernance
Outre la question de la durabilité de l'environnement, d'autres défis majeurs pour l'aquaculture se rapportent notamment au changement climatique et à la crise économique mondiale, note le rapport.
La filière aquaculture devrait donc se préparer à faire face à leurs impacts potentiels et déployer des efforts particuliers pour aider davantage les petits producteurs en les organisant en associations et en promouvant les meilleures méthodes de gestion possibles.
"Atteindre les objectifs à long terme de l'aquaculture mondiale sur les plans économique, social et environnemental dépendra principalement de l'engagement durable des gouvernements à fournir et à soutenir un cadre de bonne gouvernance pour la filière", ajoute le rapport. Source :FAO
Le rapport complet, ainsi que les comptes rendus régionaux présentés lors de la Conférence sur l'aquaculture mondiale, qui s'est tenue à Phuket (Thaïlande) en 2010, peuvent être consultés sur le site de la FAO
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Afrique sub-saharienne. En 2008, la production aquacole en Afrique sub-saharienne était de 239.000 tonnes (multipliée par cinq par rapport à 1998) et d’une valeur de 665 millions US$. L’essentiel de la production provient du tilapia et des poissons-chats. L’émergence du secteur privé, dominé par des petites et moyennes entreprises, a été catalyste dans la croissance de la production, et a été stimulée, dans certains cas, par l’appui de l’État et l’entrée d’expertise et de capitaux étrangers. Des opportunités existent pour intégrer l’aquaculture à d’autres activités, pour accroître les exportations d’espèces à forte valeur, et pour renforcer les capacités institutionelles nationales. D’avantage de recherches, de développements technologiques et d’investissements sont nécessaires pour améliorer la durabilité des systèmes de production actuels et il existe des possibilités importantes pour le développement des ressources humaines. Pour télécharger le document cliquer Aquaculture en Afrique Subsahélienne
Afrique du nord et Moyen-orient. L’aquaculture moderne de l’Afrique du nord et du Moyen-orient a débuté à la fin des années 1920 mais c’est seulement au cours de la dernière décennie que sa production a été multipliée par six pour atteindre 910 000 tonnes, d’une valeur de US$2.1 milliards en 2008. Les principaux moteurs d’une telle expansion incluent une sensibilisation accrue du public aux bénéfices du poisson sur la santé et la mise en oeuvre de politiques appuyées par la recherche, les transfers de technologies et des incitations au développement. Cinq pays de la région fournissent la quasi-totalité d’une production régionale dominée par le tilapia et le mulet. La promotion d’une industrie aquacole économiquement viable dans la région a été difficile, particulièrement concernant la pisciculture d’eau douce. Malgré tout, la région offre un potentiel considérable pour l’expansion de son industrie à travers l’utilisation de technologies adaptées et respectueuses de l’environnement. En outre, si elle en est encore à ses balbutiements, la mariculture est en rapide expansion. Pour télécharger le document cliquer Afrique du nord et Moyen-orient
Pour les autres régions : Asie, Océanie et Amérique, cliquer FAO Aquaculture Régions
La production agricole devra augmenter de 60 % sur les quarante prochaines années pour répondre à la demande croissante de produits alimentaires. Il sera essentiel d’accroître la productivité pour contenir les prix alimentaires, compte tenu de l’aggravation des contraintes de ressources, et pour réduire l’insécurité alimentaire mondiale.
Les prix agricoles se maintiennent à un palier plus élevé
Si, d’après les projections, les prix mondiaux de nombreux végétaux vont rester élevés, ils vont cependant baisser à court terme par rapport aux niveaux atteints en 2011, la production mondiale continuant de réagir aux prix élevés des dernières années, les stocks se reconstituant et la demande augmentant moins vite, dans un premier temps, sous l’effet de conditions macroéconomiques moins favorables. Suite…
Poissons - Perspectives agricoles de l'OCDE et de la FAO 2012-2021
Le secteur du poisson devrait entrer dans une décennie marquée par des prix, mais aussi des coûts de production, plus élevés.
Situation du marché
Après la reprise de 2010, le secteur de la pêche et de l’aquaculture a continué de se développer en 2011 et début 2012, comme en témoigne l’augmentation de la production, de la demande, des échanges et des prix du poisson et des fruits de mer. Selon les données préliminaires, la production totale a atteint 154 Mt en 2011, la pêche de capture progressant de 2 % et l’aquaculture de 6 % par rapport à 2010. Les exportations totales de poisson frais et transformé (farine et huile de poisson comprises) ont battu un nouveau record en 2011, puisqu’elles ont représenté plus de 126 milliards USD, soit 16 % de plus qu’en 2010.
Compte tenu de la hausse de la demande, la consommation apparente de poisson par habitant dans le monde a atteint pour la première fois 18.8 kg (équivalent poids vif). Le poisson a constitué environ 16 % de la consommation mondiale de protéines animales et 6 % de la consommation totale de protéines.
En 2011, les prix du poisson ont tout d’abord enregistré une forte hausse pour ensuite s’infléchir légèrement en fin d’année et au début de l’année 2012, restant toutefois toujours plus élevés que ceux des années précédentes. L’indice FAO des prix du poisson indique qu’en moyenne les prix courants du poisson ont atteint des niveaux sans précédent, en passant par un record absolu en août 2011 (14 % de plus qu’en août 2010), après quoi les niveaux agrégés d’indice ont lentement régressé.
Durant les dernières décennies, les marchés mondiaux du poisson frais et transformé ont considérablement évolué. Depuis un certain temps en effet, les opérateurs de la filière (pêcheurs, aquaculteurs, négociants, transformateurs et détaillants) cherchent à exploiter de nouveaux créneaux, à réduire leurs coûts de production et à opérer des investissements rentables dans un cadre d’activité de plus en plus internationalisé. Les nouveaux produits et méthodes de production, la fragmentation et l’externalisation des activités de production, de même que la modification des chaînes de valeur témoignent de l’évolution et de l’adaptation permanentes des marchés mondiaux du poisson. Les pêcheries ont pour particularité de faire partie du patrimoine commun et leur gestion nécessite une coopération régionale et internationale pour assurer que les stocks de poissons sont exploités de façon durable et responsable.
Selon les projections, la production halieutique et aquacole mondiale devrait atteindre environ 172 Mt en 2021, ce qui marque une hausse de 15 % par rapport au niveau moyen de 2009-11. Cette hausse est à mettre au compte principalement de l’aquaculture, qui augmentera de 33 % pendant la période couverte par les Perspectives, la pêche de capture progressant quant à elle de 3 %. Cependant, la croissance de l’aquaculture devrait marquer le pas, le taux de croissance annuel moyen, qui était de 5.8 % durant la dernière décennie tombant à 2.4 % pendant la période considérée.
La production de poisson est l’une des sources de protéines animales qui se développe le plus vite. La production halieutique et aquacole mondiale devrait augmenter de 15 % pendant la période de projection. Cependant, avec une croissance de 33 % de sa production, l’aquaculture surclassera la pêche proprement dite et deviendra la principale source de poisson destiné à la consommation humaine en 2018.
Le secteur du poisson devrait entrer dans une décennie marquée par des prix, mais aussi des coûts de production, plus élevés. Sous l’effet de l’augmentation des prix des farines de poisson, de l’huile de poisson et des autres produits d’alimentation animale, le prix moyen des espèces d’élevage devrait connaître une hausse un peu plus élevée que celui des espèces sauvages pendant la période couverte par les Perspectives.
La mondialisation de la filière se poursuivra, une grande partie de la production totale de poisson (34%) étant destinée à l’exportation.
La consommation apparente de poisson par habitant devrait atteindre 19.6 kg en 2021, soit 16% de plus que le niveau moyen pour 2009-11. En raison de la hausse des prix du poisson, la croissance de la consommation de poisson devrait diminuer de 0.3 % par an durant la période de projection contre 1.7 % par an au cours de la précédente décennie.
Les économies émergentes s’arrogeront une part croissante du commerce mondial de produits agricoles, lui même en augmentation. Figureront au premier plan des pays comme le Brésil, l’Indonésie, la Thaïlande, la Fédération de Russie et l’Ukraine, qui investissent beaucoup dans l’agriculture pour stimuler leur capacité de production. En 2021, les pays en développement assureront la majeure partie des exportations de riz, de graines oléagineuses, d’huile végétale et d’huile de palme, de tourteaux protéiques, de sucre, de viande bovine, de volaille, et de poisson frais et transformé. Source : Ocde
Pour aller plus loin....
Perspectives agricoles de l’OCDE et de la FAO 2012-2021
La dix-huitième édition des Perspectives agricoles, élaborée conjointement pour la huitième fois avec l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) présente des projections à ...
Poissons et fruits de mer (cliquer sur les images pour lire)
Graphiques :
- Hausse des prix du poisson résultant de l'augmentation des prix de l'alimentation animale et de la forte demande
- La hausse des coûts enraye la baisse des prix du poisson
- L'aquaculture permet de maintenir le volume total de la production de poisson au-dessus de celui de la production de viande de bœuf, de porc et de volaille
- Les produits de l'aquaculture devancent ceux de la pêche dans la consommation humaine
- Une part croissante de la farine de poisson est tirée de déchets de poisson
- Croissance de la consommation par habitant, à l'exclusion de l'Afrique
- Volume des produits certifiés par le MSC
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