Cette opération se prolonge jusqu’au 15 janvier 2010, le temps de fêter le record des exportations halieutiques de la Norvège pour l’année 2009 !
Le Norwegian Seafood Export Council vient d’annoncer « Ce sera la sixième année consécutive que les exportations norvégiennes de produits de la mer ont établi un record avec un montant de 5,4 milliards d’euros pour un volume de 2,6 millions de tonnes ». Une hausse de 0,731 milliard d’euros pour 0,268 million de tonnes.
La France et la Russie sont respectivement le premier et le second marchés d'exportation en 2009. La France a importé pour plus d’un demi-milliard d’euros de produits de la mer norvégiens.
Rappel :
- La Norvège est le second pays exportateur de produits halieutiques, après la Chine
- A titre de comparaison : Production halieutique française : 0,8 million de tonnes pour 2 milliards d'euros
Autres articles :
- Pêche durable : Qui arrêtera la Norvêge ?
- Saumon de Norvège, en maître sur la salmoniculture mondiale, toujours aux petits soins des consommateurs français
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Assiettes norvégiennes
Tartare de saint-jacques et saumon
Quenelles de lieu noir de Norvège pochées
Galettes de lieu noir de Norvège et sauce rémoulade
Dos de cabillaud de Norvège à la grecque
Cassolette de morue et coques
Gazpacho de cabillaud
Salade de cabillaud de Norvège à la crème de petits pois
Flétan blanc de Norvège à la harissa
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Revue de presse :
Février 2010
Nouveau record d’exportation de produits de la mer norvégiens (Ambassade de Norvège)
Les produits de la mer de Norvège n’ont jamais été aussi demandés et les exportations de saumon en particulier sont en augmentation. La France a été en 2009 le plus grand marché d’exportation de produits de la mer de Norvège.
Les exportations de produits de la mer de Norvège ont augmenté de 733,97 millions d’euros en 2009 par rapport à 2008, ce qui représente l’équivalent d’une augmentation de 2,6 millions de tonnes, selon Terje E. Martinussen, Directeur Général du Conseil d’Exportation des produits de la mer de Norvège. Au total, les exportations ont atteint 5,47 milliards d’euros ; un nouveau record pour la sixième année consécutive. Cela dépasse « toutes les espérances pour 2009 » dit Monsieur Martinussen.
Parmi les plus grands marchés d’exportation de produits de la mer de Norvège, la France figure au premier rang avec une valeur d’exportation de 574,94 millions d’euros en 2009. La Russie suit juste derrière, tandis que les Etats Unis ont connu la progression la plus notable avec une augmentation de 107, 53 millions d’euros.
Les produits les plus demandés en 2009 sont d’abord le saumon et la truite des Fjords de Norvège. Martinussen note que le saumon de Norvège « a significativement contribué à la valeur totale » des exportations cette année, avec une croissance notable de 709,50 millions d’euros à 2,9 milliards d’euros par rapport à l’année dernière. Une industrie aquacole norvégienne innovante et efficace explique partiellement, selon Martinussen, ce renforcement de la position de la Norvège sur le marché. Le saumon de Norvège est exporté vers 96 pays au total, et la France représente le plus grand marché.
En outre, l’export des filets de cabillaud norvégien frais, a connu une croissance considérable l’année dernière, surtout en France. Johan Kvalheim, représentant du Centre des Produits de la Mer de Norvège en France, annonce que « le cabillaud norvégien n’a jamais été aussi visible dans les magasins français qu’en 2009 ». En ce qui concerne le saumon, Kvalheim estime que la croissance restera forte en 2010, la demande de « produits sains et faciles à cuisiner comme le saumon étant en hausse constante ».
Le 16 mars 2010 : Ne pas oublier le cabillaud d'élevage. Tout est bon pour en parler comme ces tests....
Boulogne - Cabillaud d'élevage ou sauvage ? (La Semaine dans le Boulonnais)
Des restaurateurs boulonnais ont testé et répondu à un institut de recherche norvégien.
La Norvège est le premier producteur de cabillaud de pêche d'Europe. Depuis 10 ans, elle s'est lancée dans l'élevage de cette espèce. Des enjeux financiers nécessitent la validation du produit par des professionnels
Depuis dix ans, la Norvège a développé l'élevage du cabillaud dans des fermes aquacoles. Faut-il poursuivre ou non ce qui a été fait avec succès avec le saumon ? Un programme de recherche norvégien, par le biais de l'institut Nofima, a été mis en place en 2009, afin de recueillir les appréciations de restaurateurs côtés qui ont tous reçu une caisse de 15 kg de cabillaud d'élevage, ainsi qu'un questionnaire à remplir et à renvoyer.
Cette étude a été lancée en Grande-Bretagne (en cours actuellement), en Suède avec 18 restaurateurs et en France avec 16 restaurateurs dont Tony Lestienne de La Matelote à Boulogne-sur-Mer.
Cabillaud testé à l'aveugle
Mais, Tony Lestienne est allé plus loin : outre son avis personnel, il a demandé à l'institut de recherche norvégien, par l'intermédiaire de son contact en France, Marie-Christine Monfort, économiste, d'organiser une dégustation à l'aveugle auprès des médias afin de connaître aussi l'avis du consommateur. Aussitôt dit, aussitôt fait. Jeudi dernier, une dégustation était donc organisée dans le célèbre restaurant du boulevard Sainte-Beuve avec quatre sortes de cabillaud, en présence des médias, de Jens Oestli, responsable du programme norvégien et de Knut Bräthen, propriétaire d'un élevage.
De l'élevage au chalut en passant par la ligne….
Le 30 juillet 2010
En 49 pages, apprenez à vos enfants à cuisiner le saumon de Norvège tout en vous amusant, et partagez des moments magiques !
A télécharger : Le saumon de Norvège : Recettes magiques
Le 4 août 2010
Les restaurants Autour du Saumon (Hurtigruten France)
Situées au coeur des quartiers parisiens animés et stratégiques, les boutiques Autour du Saumon, concept de restaurant traiteur au décor contemporain et coloré, proposent une gamme de produits scandinaves de très grande qualité. Subtiles et raffinées (St Paul), élégantes et spacieuses (Villiers), claires et harmonieuses (Convention) ou délicates et florales (Martyrs), elles accueillent les clients du lundi au samedi de 9h30 à 22h30, pour la dégustation sur place ou la vente à emporter.
Fondé sur un concept de nourriture saine et équilibrée, Autour du Saumon attire une vaste clientèle en raison de l'originalité et de la grande diversité de ses produits nordiques. Une sélection irréprochable de cinq origines de saumons fumés et marinés. Aux côtés de ce produit phare est proposé un superbe assortiment de poissons fumés (thon, espadon, anguille, truite...)
Véritable tourbillon de parfums, palette de couleurs et de saveurs subtilement sélectionnées, l'épicerie fine séduit par l'exotisme de ses épices, la pureté de ses diamants de sel, l'éclat de ses confitures... ou la finesse de ses truffes entières et de son foie gras, qui constituent l'accompagnement idéal d'un repas de qualité. Pour parfaire cet éventail gastronomique, Autour du Saumon a réuni un ensemble de vodkas, aquavits, vins et champagnes, capables de subjuguer les gourmets les plus exigeants. Autour du Saumon réalise avec savoir-faire, ingéniosité et réactivité un large eventail de prestations gastronomiques.....
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Le 5 décembre 2010
Le vendredi, c’est poisson ! (Chronique de Voltaire)
Comme je vous l’ai déjà dit, je suis au même régime tout l’année : croquettes encore et toujours. Je n’ai même pas droit à la catégorie « poissons » mais seulement « poulet light » ! Il se trouve que j’ai un faible pour les crevettes, évidemment décortiquées par ma maîtresse. Une friandise comme une autre ! De son côté, elle adore le poisson ! Alors, quand je l’entends dire « Le vendredi, c’est poisson », je trouve ça ringard car ça devrait être tous les jours ! Et comme lorsqu’elle va chez son poissonnier, elle prend systématiquement des crevettes roses, moi, ça me plaît bien !
Le dernier livre que je viens de pêcher est un véritable voyage au pays du poisson : destination la Norvège ! Edité chez Hinoki à l’initiative du Centre des produits de la mer, « Pêche en Norvège » propose 30 recettes mêlant histoire, cuisine et photos ! Le poisson phare est de loin le saumon mais la liste est longue avec pas moins de 200 espèces. J’ai bien aimé la galerie de portraits consacrés aux différents poissons : « entre dieu blanc et joyau des mers » : saumon, cabillaud, lieu noir, églefin, truite des fjords, flétan blanc, crevette nordique, saint-jacques, crabe royal et tourteau…..
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Le 27 octobre 2011
Quand la coquille norvégienne nargue la saint-jacques française....L'entreprise de Helge Myrseht, située à Dyrvik, fournit 500 des 900 tonnes de coquilles pêchées actuellement.
Le Centre des produits de la mer de Norvège, organisme lié au ministère de la Pêche, a organisé début octobre un voyage de presse centré sur la coquille Saint-Jacques, le saumon et le flétan. Pas de hiérarchie des valeurs affichée, les Norvégiens n'ont pas nos réticences face à l'élevage. En même temps, ils pointent la saint-jacques qu'ils considèrent comme la Rolls-Royce des coquilles. Et, dans ce cas précis, il s'agit d'un produit sauvage, dont l'exploitation est récente (1998), et dont la production (900 tonnes aujourd'hui) est appelée à progresser quand la zone de pêche sera agrandie aux gisements encore inexploités - la Norvège compte entre 12 000 et 15 000 petites îles.
Sportif et rémunérateur
Cette coquille de pleine mer est pêchée à la main par des plongeurs qui descendent entre 20 et 30 mètres. L'exercice est hautement sportif, la rémunération est stimulante. 200 à 300 kilos sont cueillis en moyenne par jour sachant que les saint-jacques norvégiennes sont d'un gros calibre, qu'il suffit de deux ou trois pour avoir un kilo. Le pêcheur reçoit 2,50 € par kilo.
Helge Myrseht, le patron de l'entreprise que nous avons visitée, à Dyrvik - elle fournit 500 des 900 tonnes de coquilles pêchées actuellement - explique que les plongeurs sont au nombre de 15, qu'ils partent en mer sur un bateau de cinq et que la pêche est organisée (il y a le skipper et pendant que deux plongeurs sont en action, deux autres surveillent les opérations). L'avantage de la plongée est de préserver les fonds marins. En France, ce type d'expérience existe dans le golfe du Morbihan.
Camdeborde est un fan
Recherchée, la saint-jacques de Norvège, à la chair ferme et douce à la fois, très minérale - elle est cueillie dans des eaux froides et claires -, part à l'export à 90 %. La grande restauration, les ambassades, les commerces spécialisés, sont les prescripteurs de cette coquille haut de gamme.
Le Palois Yves Camdeborde, à Paris, l'acclimate : « C'est un produit d'exception », souligne-t-il, expliquant : « Chaque saint-jacques est baguée, le calibre est supérieur à celui des coquilles françaises. Bien large et bien épais, il permet au cuisinier de s'amuser. La cuisson est moins délicate qu'avec une saint-jacques normale, je la quadrille sur un côté pour bien faire entrer la chaleur et je la sers dans un bouillon d'étrilles. La norvégienne est plus iodée et moins sucrée, c'est un autre produit. »
Le prix est à la hauteur de la réputation, la pièce coûte 3,50 €, le kilo se paye 12 euros. Les Norvégiens sont déterminés à pénétrer le marché français, d'autant qu'ils savent qu'avec la saint-jacques, ils n'auront pas à calmer les doutes provoqués par l'élevage. Source : La saint-jacques top de Norvège (Sud Ouest)
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Le 16 mars 2012
Les saumons de Norvège sont nourris de « pellets », des granulés qui concentrent tout ce qui constitue leur alimentation naturelle à l’état sauvage. Les saumons puisent ainsi leur énergie d’un mélange de farines et d’huiles issues de petits poissons particulièrement riches en protéines et en graisse. Parce qu’ils favorisent le bon développement de l’organisme, vitamines et minéraux sont également au menu. Autre ingrédient indispensable : l’astaxanthine. Il s’agit d’un antioxydant qui apporte au saumon de Norvège la vitamine A dont il a besoin et qui donne à sa chair sa couleur rosée unique. Présent à l’état naturel chez le saumon, tout comme chez le flamant rose et les crevettes, cet antioxydant lui permet de conserver ses précieux oméga-3, qui contribuent à notre équilibre physique et mental.
Tout comme sa qualité, la quantité de nourriture est rigoureusement contrôlée. Ainsi, les poissons ne reçoivent que ce qui est nécessaire à leur croissance. Pas de gaspillage chez les saumons ! Naturellement, les doses de nourriture sont également ajustées à leur appétit, qui évolue selon les conditions climatiques. En effet, contrairement à nous, le saumon n’a pas faim lorsqu’il fait trop froid !
Pour une totale sécurité, chaque élément composant l’alimentation des saumons bénéficie d’une traçabilité précise et transparente. OGM ainsi que farines animales terrestres n’entrent en aucun cas dans l’alimentation du saumon norvégien. Les antibiotiques, quant à eux, ne peuvent être utilisés que sur ordonnance vétérinaire et autorisation des autorités sanitaires. Les saumons qui en ont besoin sont mis d’office en quarantaine jusqu’à ce que toute trace de médicament ait disparu de leur chair.
Avec le saumon de Norvège, chacun est assuré de déguster un saumon qui a été sainement nourri et élevé.
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En Norvège, aquaculture de qualité rime avec nature respectée (Poissons de Norvège)
Dès le milieu du XXème siècle, la Norvège a pris conscience de l’importance de la richesse de son patrimoine naturel, et de la nécessité d’en assurer la préservation, particulièrement celle des ressources marines. A cette époque, la Norvège fut le premier pays au monde à établir des réglementations encadrant les activités de pêche. C’est également à cette période que le pays a mené ses premières recherches d’élevage de poissons, permettant l’émergence d’une aquaculture moderne et commerciale dans les années 70.
Aujourd’hui la Norvège est une nation pionnière en matière d’aquaculture. A ce titre, de nombreuses compétences de haut niveau sont mises à contribution (éthologie, biologie marine, technologie…) pour garantir la sécurité des consommateurs, ainsi que la préservation des eaux norvégiennes.
Toute une gamme de mesures strictes a été établie pour assurer une cohabitation optimale entre le développement de l’aquaculture et le respect des écosystèmes environnants.
Une politique d’implantation des parcs aquacoles et de surveillance très exigeante
Avant d’obtenir son agrément, un site de production aquacole doit répondre à de nombreuses exigences environnementales.
- Les fermes sont situées en pleine mer, dans les eaux froides et limpides des fjords, suffisamment loin des zones de trafic maritime. Ces eaux bénéficient d’une oxygénation et d’un renouvellement naturels grâce à la présence de courants. Leur qualité est surveillée en permanence.
- Les conditions de courant, ainsi que la profondeur, la qualité de l’eau et l’éloignement de tout habitat d’autres espèces (par exemple, de saumons sauvages) sont également évalués par les autorités, sur la base de standards minimums.
Une fois agréé, le site de production fait l’objet d’un suivi strict et régulier.
- Les conditions de vie des saumons étant un critère primordial, la densité de poissons dans les enclos d’élevage ne peut à aucun moment dépasser 2,5 % du volume total d’eau afin qu’ils aient assez d’espace pour évoluer à leur aise.
- Entre chaque cycle d’élevage, les fermes sont mises en jachère afin de préserver l’environnement naturel intact. Pendant cette période, les fonds marins sont étroitement surveillés.
Au final, la sélection est tellement stricte que l’on compte moins de 750 fermes pour 21 000 km de côtes ! D’une part, les licences ne sont accordées par l’Etat qu’à la condition que les fermes soient intégrées à l’environnement et qu’elles le respectent pleinement. D’autre part, les licences sont attribuées avec parcimonie afin d’éviter un développement trop important du nombre de parcs.
Une alimentation surveillée et adaptée
D’importantes recherches dans ce domaine ont permis d’identifier les besoins naturels des poissons en fonction de leur stade de développement. Objectif : garantir aux poissons d’élevage une nourriture adéquate, tout en s’assurant de leur bonne santé.
Par ailleurs, pour éviter tout gaspillage de nourriture, des caméras sous-marines ont été installées dans les parcs aquacoles afin de vérifier le comportement alimentaire et l’appétit des poissons. Les quantités sont ainsi ajustées au plus près de leur consommation. Ces caméras permettent aussi de veiller à ce que les fonds marins restent préservés.
La Norvège travaille actuellement à un nouveau challenge : réduire la dépendance aux ressources marines pour préserver les ressources halieutiques. Des recherches sont ainsi menées afin de réduire les farines et huiles de poisson en augmentant la part de composants végétaux de l’alimentation des saumons, tout en garantissant les apports nutritionnels nécessaires au bien-être et à la qualité de ces derniers.
Objectif : zéro fuite de saumons
Les autorités norvégiennes se sont fixées l’objectif « zéro fuite ». La fuite d’un seul poisson d’une ferme est considérée comme un « crime environnemental » et sévèrement punie. L’implication des autorités et des fermiers ont permis des résultats impressionnants ! En 1998, le pourcentage de fuites de saumon était de 0,46 %. En 2009, il est tombé à moins de 0,04 % et ce, alors que la production a augmenté de près de 10 % sur la même période! C’est une priorité absolue du secteur et des autorités de poursuivre les efforts entrepris jusqu’à ce que plus aucun saumon ne puisse s’échapper.
Une filière aquacole mobilisée pour lutter contre les parasites
Parasite existant naturellement en milieu marin, le pou de mer touche aussi bien les saumons sauvages que ceux d’élevage, qu’il contamine en passant à proximité des zones d’aquaculture. Il se fixe sur la peau, aux nageoires et aux branchies du poisson. Même s’il ne représente aucun danger pour la santé humaine s’il est ingéré, les autorités norvégiennes estiment qu’au-dessus d’une certaine concentration, pour des raisons de bien-être animal, il convient de prendre des mesures pour en réduire le nombre dans les bassins.
La plupart du temps, le problème se résout de manière entièrement naturelle : des poissons appelés « vieilles communes » sont introduits dans le bassin d’élevage et se nourrissent des poux de mer.
Si une concentration élevée de poux est constatée, un vétérinaire peut prescrire des produits spécifiques. Cette prescription reste néanmoins très encadrée et ne peut se faire sans l’aval des autorités.
L’ensemble des réglementations liées à l’aquaculture permettent aujourd’hui à la Norvège de préserver l’écosystème de ses eaux, tout en proposant différentes espèces d’élevage, tels que le saumon, la Truite des Fjords® et le flétan blanc aux amateurs de poissons à travers le monde.
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