Alors que beaucoup souhaitent écarter et même enterrer la pêche française mettant en exergue la diminution des captures en criée, l’observatoire des métiers de la mer révèle contre toute attente que l’emploi dans la pêche côtière se maintient sur une période de 10 ans. Ce segment de la pêche artisanale se renforce même étant donné l’érosion dans les secteurs industriels et hauturiers. Télécharger le document du Faf pêche : L'emploi à la pêche en 2008
Période des Vœux 2010. Sur les présentoirs des kiosques à La Rochelle, des cartes postales souhaitent la « Bonne Année » sur fond de bateaux de pêche aux couleurs chatoyantes, des coureauleurs à quai dans le Vieux Port aux deux tours. Des photos d’une autre époque. Il y a belle lurette que ces petits chalutiers, contraints et forcés, ont quitté ce haut-lieu historique pour laisser la place aux voiliers et autres bateaux de touristes.
Après plus de 15 années de mise à l’écart dans un port pourtant flambant neuf et à la pointe de la modernité, ne résiste encore que la pêche côtière. Avec le départ des derniers hauturiers, les infrastructures sont devenues surdimensionnées pour les petits artisans. La municipalité rochelaise menace de ne plus soutenir cette petite pêche par manque de résultats !
Bien loin le temps de la pêche industrielle… Après le départ des derniers hauturiers, La Rochelle a définitivement classé la pêche dans ses cartons. Portée par les sirènes de la plaisance, la Ville ne mesure pas les apports d’un secteur artisanal dynamique au cœur de la cité.
Mais, ces cartes postales toujours bien en vue sur le Vieux Port ne seraient-elles pas une forme de résistance ? Les coureauleurs restent toujours en mémoire dans les cœurs et les yeux des rochelais…
A quelques encablures, le port de La Cotinière sur l’Île d’Oléron poursuit sa mutation et projette d’agrandir ses installations. La Cotinière ne vit pourtant que de et pour sa pêche artisanale et côtière ! D’autres ports français reconnaissent le poids et la vitalité de cette pêche comme les ports coquilliers de Bretagne Nord et de la Manche. Pour Liliane Lemasson, maire d’Erquy : « Le port de pêche nous permet de maintenir un dynamisme tout au long de l'année…. Grâce à cette activité et à la transformation des produits de la mer, ici, ce n'est pas « volets clos » pendant six mois de l'année. » (Ouest France)
Période des Vœux 2010. Sur les présentoirs des kiosques à La Rochelle, des cartes postales souhaitent la « Bonne Année » sur fond de bateaux de pêche aux couleurs chatoyantes, des coureauleurs à quai dans le Vieux Port aux deux tours. Des photos d’une autre époque. Il y a belle lurette que ces petits chalutiers, contraints et forcés, ont quitté ce haut-lieu historique pour laisser la place aux voiliers et autres bateaux de touristes.
Après plus de 15 années de mise à l’écart dans un port pourtant flambant neuf et à la pointe de la modernité, ne résiste encore que la pêche côtière. Avec le départ des derniers hauturiers, les infrastructures sont devenues surdimensionnées pour les petits artisans. La municipalité rochelaise menace de ne plus soutenir cette petite pêche par manque de résultats !
Bien loin le temps de la pêche industrielle… Après le départ des derniers hauturiers, La Rochelle a définitivement classé la pêche dans ses cartons. Portée par les sirènes de la plaisance, la Ville ne mesure pas les apports d’un secteur artisanal dynamique au cœur de la cité.
Mais, ces cartes postales toujours bien en vue sur le Vieux Port ne seraient-elles pas une forme de résistance ? Les coureauleurs restent toujours en mémoire dans les cœurs et les yeux des rochelais…
A quelques encablures, le port de La Cotinière sur l’Île d’Oléron poursuit sa mutation et projette d’agrandir ses installations. La Cotinière ne vit pourtant que de et pour sa pêche artisanale et côtière ! D’autres ports français reconnaissent le poids et la vitalité de cette pêche comme les ports coquilliers de Bretagne Nord et de la Manche. Pour Liliane Lemasson, maire d’Erquy : « Le port de pêche nous permet de maintenir un dynamisme tout au long de l'année…. Grâce à cette activité et à la transformation des produits de la mer, ici, ce n'est pas « volets clos » pendant six mois de l'année. » (Ouest France)
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