De grands pêcheurs ruinés par la pêche pirate au large des côtes du Golfe de Guinée. Dans la plus grande indifférence des institutions européennes ou internationales qui sortent des réglementations pour mieux se donner bonne conscience, la pêche illégale se poursuit en toute impunité dans les zones traditionnellement exploitées par les pêcheurs piroguiers.
Au Ghana, pays reconnu en Afrique par la grande expérience de ses pêcheurs, notamment les Fantis qui pratiquent leur activité depuis les côtes angolaises jusqu’aux rivages sénégalais, la pêche nationale se meurt face à l’ampleur du pillage. Des flottilles étrangères de chalutiers ratissent les côtes du pays et la pêche n’est plus rentable. Pour survivre, les pêcheurs abandonnent leur métier pour se consacrer à des activités criminelles….
Lire l’article d’Irin : Ghana - Des pêcheurs armés d’appareils photo
Au Ghana, pays reconnu en Afrique par la grande expérience de ses pêcheurs, notamment les Fantis qui pratiquent leur activité depuis les côtes angolaises jusqu’aux rivages sénégalais, la pêche nationale se meurt face à l’ampleur du pillage. Des flottilles étrangères de chalutiers ratissent les côtes du pays et la pêche n’est plus rentable. Pour survivre, les pêcheurs abandonnent leur métier pour se consacrer à des activités criminelles….
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Autres articles :
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Le 29 octobre 2012
La stratégie maritime de l’Afrique prend-elle l’eau ?
La stratégie maritime de l’Afrique prend-elle l’eau ?
Source : Green et Vert
L’Union
africaine s’est fixé 2050 comme date limite pour sécuriser les eaux
territoriales du continent. Une date qui risque de se révéler utopique.
Des
54 pays qui composent l’Afrique, 38 ont des littoraux ou sont des îles.
Avec ses 42 000 km de littoraux, c’est la dernière grande région sans
protection maritime. Sans une stratégie exhaustive pour faire respecter
les lois, surveiller et promouvoir l’économie maritime et ses
ressources, l’Afrique perd des milliards de dollars chaque année et est
la proie de nombreux criminels.
“L’Afrique
reste encore le continent le plus touché par la pêche illégale, les
actes de pirateries, le trafic de drogue, d’armes, d’humains, sans
parler des mauvais bateaux et des vieux ports” déclare Annette
Leijenaar, Directrice du département de gestion de conflits et
d’installation de la paix à l’Institute for Security Studies (ISS), à
Pretoria.
42 000 km de littoraux sans défense ou presque
Sur
le milliard d’habitants que compte l’Afrique, environ 70 % dépendent du
poisson pour avoir des protéines. Johan Potgieter, un des cadres d’ISS,
envoie un message aux politiques : “
Ne pensez pas à combien coûte une flotte. Pensez plutôt à combien cela
va vous coûter de nourrir une population quand il n’y aura plus de
poissons ?».
Les
pertes globales causées par la pêche illégale coûtent entre 10 et 23.5
milliards de dollars par an. Les prises illégales sont en train de
devenir la norme. Les super-chalutiers étrangers n’hésitent pas à piller
des centaines de tonnes de poisson par jour pour les exporter en
Europe, tandis que les prises des pêcheurs locaux sont limitées en
général à ce qu’ils peuvent ramener sur des pirogues de 8 m.
Par
ailleurs, les opérations anti- pirates au large de la Somalie en 2011
ont couté environ 6,9 milliards de dollars. Pour Potgieter, les
opérations anti-pirates d’Afrique de l’Est les ont repoussé vers la côte
est de Madagascar, qui est relativement déserte. Les pirates y sont
tranquilles pour établir de nouvelles bases. Cela ne règle pas le
problème.
Des flottes à coûts exorbitants
Un
bâtiment coûte des millions de dollars et il en faut 3 pour former une
unité opérationnelle. Par exemple, trois bâtiments de patrouille de 80 m
de la British Royal Navy coûtent 32 millions de dollars par an. Mais en
dépit de ces sommes astronomiques et du manque d’expérience des
officiers en commande, plusieurs nations ont commencé à acquérir des
bateaux. Le Nigéria a prévu 49 bâtiments et 42 hélicoptères sur les 10
ans à venir. Le pays a aussi construit son propre bâtiment de patrouille
de 31 m, le NNS Andoni.
Le Ghana a acquis deux anciens bâtiments d’attaque allemands et a commandé quatre nouveaux bateaux patrouilleurs à la Chine. La Namibie a acheté un bâtiment chinois de 100 m et a renforcé les patrouilles autour des ports.
Potgieter
explique ”Pour faire des arrestations, il faut un avion ou un drone et
un bateau. C’est là que réside le problème. Ce n’est pas bon marché. Et
si nous détectons un problème de l’autre côté de Madasgascar, il faut
collaborer avec d’autres ! Peut-être les Français sont-ils les mieux
placés pour agir. Mais il faudrait qu’on leur parle pour ca ! ”.
Une législation qui diffère de pays en pays
Il
est nécessaire d’harmoniser les règles et les lois de chaque ministère
de tous les pays de l’UA. Une tâche qui prendra environ 10 ans. Selon
l’ISS, il faut une bonne gouvernance, une infrastructure solide, une
compétence technologique, des mécanismes efficaces de partage
d’informations, et une volonté politique forte. Très peu de pays
africains possèdent ces éléments.
“La
plupart des pays ne vont même pas vous autoriser à traverser leurs eaux
si vous n’avez pas eu leur permission à l’avance. Nous avons besoin
d’assumer la responsabilité pour le domaine maritime africain
collectivement,” explique Potgieter.
Pour aller plus loin : Sommet sur la piraterie maritime au Cameroun en avril 2013 (gabonactu)
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Le 15 avril 2012
Le Gabon dispose de 800 kilomètres de côtes et bien qu'il y ait de la ressource, celle-ci est insuffisante pour satisfaire les besoins de la population… Malgré ses potentialités, le secteur de la pêche artisanale n'attire pas les nationaux. Elle est pratiquée, depuis les années 1960, par des pêcheurs étrangers originaires d'Afrique de l'ouest, notamment les Fantis du Ghana.
35.000 tonnes de captures en 2010
L'espace maritime gabonais (265 000 km2), qui comprend un plateau continental de 46 000 km2 et une zone économique exclusive de 213.600 km2, est presque aussi vaste que tout le territoire (267 667 km2). Il est complété par un système fluvial, lacustre et lagunaire qui couvre 10 750 km2 et regorge d'importantes ressources halieutiques, selon la direction générale des pêches et de l'aquaculture.
L'activité halieutique a enregistré de bonnes performances au cours de l'année 2010. Ainsi, la production de poissons a atteint 35 000 tonnes contre 30 095,7 tonnes en 2009. Le chiffre d'affaires réalisé s'est amélioré de 16,1% et parallèlement, la pêche a procuré à l'Etat environ 62 milliards de francs CFA. Le patron des Pêches et de l'Aquaculture, explique les difficultés rencontrées dans ce secteur porteur et passe en revue les moyens utilisés pour satisfaire une demande locale croissante en produits de pêche.
7 000 à 8 000 tonnes de poissons importés congelés
« La pêche industrielle a produit 4 200 tonnes de poissons en 2010 contre 3 696,2 tonnes en 2009. Alors que la pêche artisanale maritime a fourni 17 500 tonnes de poissons en 2010 contre 15 793,2 tonnes en 2009. Quant à la pêche artisanale continentale, 12 250 tonnes de poissons ont été capturés en 2010 contre 10 480,8 tonnes en 2009. », a commenté Guy Anicet Rerambyath, Directeur général des pêches et de l'aquaculture.
Les besoins de la consommation nationale en produits de mer (40 000 à 50 000 tonnes) doivent être complétés chaque année par des importations comprises entre 7 000 et 8 000 tonnes de poissons congelés évaluées à quelque 7 milliards de FCFA par an.
« L'aquaculture est un secteur d'avenir »
L'aquaculture est un secteur d'avenir au Gabon qui peut compenser le déficit des captures de pêche, a déclaré Guy Anicet Rerambyath.
Il existe 11 stations piscicoles dans les zones continentales. Mais, l'aquaculture a régressé au cours de ces dernières années. Pourtant, un intérêt subsiste auprès des populations. Les autorités gabonaises fondent de sérieux espoirs pour que les nationaux s'approprient l'aquaculture...
Oui, en effet. Au ministère de la Pêche et de l'Aquaculture, nous nous sommes focalisés sur la formation des pisciculteurs, la recherche du développement pour produire des alevins de qualité puis l'implantation des différents bassins. Enfin, la conception d'une formule alimentaire pour permette à l'opérateur de nourrir son poisson à un coût abordable autour de 100 francs CFA le Kilogramme au lieu de 340 F CFA, est en étude.
Quelles sont les espèces cultivées en bassin ? Le rendement de la culture du poisson chat est de 100% et celui du tilapia est de 50%. La différence des rendements est dû au fait que chez les tilapias, les mâles grossissent et consomment plus d'aliments que les femelles avant la phase de reproduction alors dans la population de poissons chat, il y a parité des sexes.
Trente sept représentants des pays qui ont développé l'aquaculture se sont rendus au Gabon pour échanger sur cette problématique en 2011. Le Gabon envisage de révolutionner l'aquaculture et d'améliorer sa production. Actuellement 100 tonnes de poissons sont produit par an dans les bassins. Ce qui est insuffisant. D’après Allafrica : Gabon: Guy Anicet Rerambyath - " L'aquaculture est un secteur d'avenir "
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Pour les pays du golfe de Guinée, le poisson est une ressource alimentaire vitale...
Source : Fishing for Feed or Fishing for Food: Increasing Global Competition for Small Pelagic Forage Fish / Albert G. J. Tacon and Marc Metian / Royal Swedish Academy of Sciences 2009 - Ambio Vol. 38, No. 6, September 2009… A télécharger Ici
Autres publications de Tacon, cliquer Ici
Autres publications sur les problématiques « Petits pélagiques », cliquer Lenfest Ocean Program
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Le 17 janvier 2012
Congo. Pénurie de poisson après l'interdiction de pêche des bateaux chinois ?
Après avoir interdit la pêche à 69 bateaux chinois pour pratiques illégales, le Congo revient sur sa décision trois semaines plus tard.
Selon la presse locale, pendant toute la durée de la suspension des bateaux chinois, le poisson se faisait rare sur les marchés de Pointe-Noire, ville de près d'un million d'habitants....
Que restera-t-il dans les eaux congolaises après le ratissage de ces 69 chalutiers chinois ? La ZEE congolaise est parmi les moins étendues de toute l'Afrique équatoriale !
Soixante-neuf bateaux appartenant à trois entreprises chinoises accusées de pratiques illicites et interdits de pêche fin décembre dans les eaux congolaises ont été autorisés à reprendre leurs activités dès mercredi, a-t-on appris mardi auprès du ministère de la pêche.
"Ces bateaux viennent d'être autorisés à reprendre leurs activités de pêche industrielle dans les eaux maritimes congolaises dès ce mercredi (18 janvier)", a indiqué le directeur de cabinet du ministre de la pêche, Joseph Kibiadi, lors d'une réunion à Pointe-Noire (sud) avec les responsables de ces entreprises sanctionnées, et dont l'AFP a obtenu copie des minutes.
M. Kibiadi a précisé que la suspension a été levée sur décision du ministre de tutelle, Hellot Mampouya Matson, sans toutefois en indiquer les motivations.
Fin décembre, le gouvernement congolais avait suspendu les navires chinois pour "non respect des lois et règlements en vigueur (depuis 2000)", avait expliqué à l'AFP Dieudonné Kiessiekiaoua, conseiller à la pêche au ministère de la pêche. "Ces bateaux ont exercé des activités dans la zone de 6 milles nautiques, qui est une zone de reproduction", où la pêche est strictement prohibée, avait-il ajouté. Les navires suspendus appartiennent à trois compagnies chinoises: Lulu, Rong Chang, Huayi Jinri.
Selon la presse locale, pendant toute la durée de la suspension des bateaux chinois, le poisson se faisait rare sur les marchés de Pointe-Noire, ville de près d'un million d'habitants.... En août, M. Kiessiekiaoua avait annoncé à l'AFP que le Congo s'était doté d'un système satellitaire de surveillance des bateaux "pour mieux contrôler ses eaux". Selon les estimations du ministère de la pêche, pour que chaque Congolais consomme 25 kilos de poisson par an, il faut que le pays dispose de 100.000 tonnes de poisson. "Notre production est en deçà, et de temps en temps nous recourons aux importations pour combler le déficit", selon le conseiller Kiessiekiaoua.
Le Congo importe chaque année des denrées alimentaires pour 130 milliards de Fcfa (198 millions d'euros), selon l'Organisation des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO).
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Le 12 juin 2012
Commission Régionale des Pêches du Golfe de Guinée (COREP)
Crée le 21 juin 1984 à Libreville au Gabon par Convention relative au développement régional des pêches dans le Golfe de Guinée, et révisée en mai 2009 pour entrer en vigueur le 15 décembre 2010, la COREP compte actuellement comme pays membres: la République Gabonaise, la République du Cameroun, la République du Congo, la République Démocratique du Congo (RDC) et la République Démocratique de Sao Tomé et Principe. L'Angola et la Guinée Equatoriale participent pour l'instant à la Commission en qualité d'observateurs.
Organe consultatif et d'expertise du Conseil des Ministres des pays de la sous-région, le Comité Technique se réunit deux fois l'an en session ordinaire.
Potentiel halieutique de la sous-région COREP
La sous-région COREP totalise près de 3.690 km de côtes, avec près de 150.120 km² de plateau continental et 1.303.600 km² de zones économiques exclusives.
Le potentiel halieutique global de la sous-région est estimé à 1.832.600 tonnes dont 1.055.000 dans les eaux marines. Ce potentiel est constitué des poissons pélagiques (tant côtiers que hauturiers), des poissons démersaux, des crustacés et des céphalopodes. Source : CEEAC
Les pêches maritimes en Afrique centrale : les préalables à une exploitation durable des ressources
Au regard du faible volume des captures, de la déficience de l’outil de production, du sous-équipement des infrastructures portuaires et d’un marché de commercialisation étriqué, la pêche maritime en Afrique centrale apparaît comme une activité peu développée, tant en pêche industrielle qu’en pêche artisanale. Mais les avantages divers qu’elle est censée procurer, notamment en termes de création d’emplois, de distribution de revenus ou d’apport alimentaire, en font un des piliers majeurs de la politique économique et sociale dans la sous-région. Pour y parvenir effectivement, la politique des pêches doit s’inscrire dans une perspective de développement durable, fondée sur une bonne connaissance du potentiel exploitable, une préservation des ressources et leur appropriation par les capacités nationales.
Afrique centrale, pêche maritime, pêche industrielle, pêche artisanale, développement durable, potentiel exploitable, préservation des ressources, main-d’œuvre stable, pêche illicite… Suite des travaux de Guy-Serge Bignoumba dans Cairn.infos
Pointe Noire (Congo) – Le Conseil des Ministres de la Commission Régionale de Pêche du Golfe de Guinée (COREP) a appelé, à Pointe Noire, au Congo, l'Angola à adhérer à cette Institution spécialisée de la Communauté Economique des États de l'Afrique Centrale (CEEAC) comme membre effectif.
Pour l'heure, l'Angola participe aux réunions, comme observateur, de même que la Guinée équatoriale.
Dans le communiqué publié au terme de la réunion extraordinaire réalisée du 6 au 8 juin, à laquelle à pris part une délégation angolaise conduite par l'ambassadeur d'Angola au Congo, Pedro Fernando Mavunza, les ministres ont demandé à l'Angola d'accueillir, au terme de cette année, la première conférence scientifique de l'Organisation sous-régionale.
Dans son discours de clôture des travaux, le président du Conseil des Ministres du COREP, également ministre congolais de la Pêche et Aquaculture, Hellot Matson Mampouya, a insisté sur les deux demandes du fait que l'Angola est un partenaire stratégique, afin de renforcer le fonctionnement de l'Organisation.
Selon lui, les États africains seront capables de défendre avec force leurs intérêts liés à la préservation des ressources haliêutiques, s ils étaient unis.
La délégation angolaise à ces assises comprenait la chef du département de l'Aquaculture de la direction nationale de la Pêche, Ilda Lucas, le cônsul général de l'Angola à Pointe Noire, Manuel António Tombia, ainsi que d'autres diplomates seniors de la mission diplomatique angolaise dans ce pays.
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Le 11 juin 2012
Le potentiel halieutique de la République Démocratique du Congo (RDC)
Le plus vaste pays du continent africain, la RD Congo, ne dispose que d'une façade maritime de 40 km pour la plus petite ZEE sur l'Atlantique.... Néanmoins, ce pays dispose d'un fabuleux potentiel halieutique avec le bassin du Congo !
La filière pêche en RDC : Quel avenir ?
La RDC est un pays avec un potentiel halieutique estimé à 700.000 T par an à travers ses nombreux lacs, rivières, fleuves et 40 kms sur la côte Atlantique. Malgré ce potentiel, la production de la RDC est très faible, estimée à environ 250.000 T par an.
Pour satisfaire la demande en poissons, elle est obligée d’importer 200.000 T des poissons par an dont les célèbres poissons chinchards communément appelés par les congolais « Thomson » ou « Mpiodi » accessibles à toutes les bourses alors que le besoin en poissons est estimé à 450.000 T par an.
Ainsi, la pêche reste une activité de survie pour la population qui ne gagne que de quoi survivre. Or, si cette filière est organisée et modernisée, la pêche peut satisfaire le besoin local en poissons et générer des devises en vendant les surplus à l’étranger.
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Revue de presse :
19 janvier 2010 : Au Ghana les pêcheurs sont équipés d’appareils photos (Le Grand Village)
Le Ghana avec ses côtes poissonneuses et ses villages de pêcheurs ne ressemble plus vraiment à cette carte postale. En effet la pêche industrielle pratiquée par les chalutiers usines appauvrie considérablement les eaux ghanéennes. Les chalutiers sans scrupules n’hésitent pas à pénétrer dans les eaux réservées aux locaux, pour contrer cela, les pouvoirs locaux sans moyens équipent les pêcheurs locaux avec des appareils photos afin de prouver les infractions.....
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Le 4 août 2010 : Au Ghana, l’Atlantique n’est pas une poubelle (Jdle)
Les autorités ghanéennes ont condamné la compagnie pétrolière Kosmos Energy à 35 millions de dollars (26,8 millions d’euros) d’amende pour pollution maritime. Un comité gouvernemental avait recommandé le 30 juin que « la direction verse une somme d’argent au Ghana » (voir communiqué).
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Le 23 octobre 2010
Au Ghana, la Marine part en campagne contre la pêche illégale
Le Western Naval Command, en collaboration avec la Commission nationale de la pêche, s'est engagé à faire appliquer la nouvelle loi sur la pêche pour protéger les stocks de poissons.
À cet égard, les pêcheurs qui utilisent des moyens illicites de capture, telles que l'utilisation de la lumière, de la dynamite et de substances toxiques, sont avertis… Ils doivent renoncer à ces pratiques sana quoi ils s’exposent à des poursuites…. Source : Navy vows to enforce Fisheries Law
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