FranceAgrimer mène campagne pour le poisson frais… de Norvège !

FranceAgrimer mène campagne pour le poisson frais… de Norvège

En 2011, la France a perdu sa 1e place dans les exportations norvégiennes de produits de la mer au profit de la Russie… C’est un comble !

Remettre immédiatement les choses dans l’ordre et redresser la barre !

FranceAgriMer a mobilisé près d’1 million d’euros pour une campagne sans précédent en faveur des produits de la mer....

« Savoureux, simples et pas chers… Les produits de la mer, ils ont tout pour plaire. »

…. de Norvège

Campagne de FranceAgriMer relayée par Norge, le Centre des produits de la mer de Norvège, en vue de relancer saumon et cabillaud sur le marché français…

En effet, le pays du développement durable regorge de poissons sauvages et de poissons d’élevage. Des quotas de pêche en hausse. Des cages pleines. Les eaux norvégiennes débordent de poissons, de coquillages et de crustacés... Les Vikings ont besoin d’écouler leurs surplus de la pêche durable et de l’aquaculture écologiquement responsable….

De son côté, Dominique Schnäbele, adjointe à la directrice de la communication de FranceAgriMer nous explique la démarche....

« Pour la troisième année consécutive, FranceAgriMer s’engage auprès de la filière pêche. Contrairement aux autres filières que nous soutenons, l’interprofession France Filière Pêche est en train de se constituer. Au-delà du soutien financier, nous nous occupons aussi de leur communication, jusqu’à ce que l’interprofession prenne le relais. Cette année, nous avons lancé la campagne pour que les consommateurs n’oublient pas la filière, pour qu’elle reste bien vivante à un moment où ils achètent plus de poissons qu’en temps normal - le mois de juillet correspondant à un pic de consommation. L’autre objectif est de combattre l’idée préconçue selon laquelle le poisson est une denrée chère : il en existe suffisamment pour tous les budgets ! » Source : Les produits de la mer en campagne (alimentation.gouv.fr)

Crieurs en verve ! Consommateurs en berne ?

En 2011, les pêcheurs français ont débarqué plus de poissons et les prix ont repris des couleurs dans les criées.

Pourtant, les français auraient boudé le poisson frais selon la note de conjoncture sur le marché des produits aquatiques de FranceAgriMer du 3 février 2012. D'après le Panel Kantar Worldpanel, la consommation des ménages a globalement diminué de 4,9% en 2011.

Lisons entre les lignes....

La baisse de consommation en frais ne concerne pas toutes les espèces. En quantité brute, la chute touche surtout les produits aquatiques importés. En premier lieu, saumon et cabillaud qui représentent le 1/3 des quantités de poissons frais consommés en France. Ces deux espèces sont principalement importées des pays de l’Europe du nord, notamment de Norvège, premier fournisseur étranger en produits halieutiques de l’hexagone.

Quant à la consommation des espèces débarquées dans les ports français, elle ne diminue pas en quantité brute. Ce qui reflète les bons résultats des criées françaises qui sont repassées au-dessus de la barre des 200.000 tonnes en 2011. Hausse en quantité et en valeur, respectivement de 4,9% et 11,2%, avec des retraits à un niveau historiquement bas.

Message ciblé plutôt qu'une réclame sans saveur...

Une analyse plus fine de chaque espèce pour un ciblage publicitaire plus précis permettrait de soutenir les pêcheries françaises surtout en cette période de gasoil cher.

Une campagne ciblée sur plusieurs espèces emblématiques de "poissons de nos côtes" (1) plutôt qu'une réclame sans saveur qui ne peut qu'avantager le poisson de masse d'importation...

Un message ciblé comme sait si bien le faire Norge pour donner le goût de manger du saumon, cabillaud, flétan blanc, crabe royal, moule, saint-jacques, crevette de Norvège...

Norge, une campagne de grande ampleur dans l'hexagone :

En ne ciblant pas des espèces précises de nos côtes françaises, FranceAgriMer jette l’argent par les hublots des bateaux de pêche, tout en soutenant les intermédiaires de la filière qui misent sur les produits d’importation…

Philippe Favrelière

(1) Des poissons emblématiques de nos côtes comme le Merlu... Voir l'article du Marin (16 mars 2012) ci-après : Marché du Merlu : Rien ne va plus

Autres articles :

Pour aller plus loin....
Pour lire la suite de l'article du Marin (16 mars 2012), cliquer Kiosque

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Pavillon France flottera au rayon marée

L’Association France Filière Pêche, qui dispose du joli budget de 30 millions d’euros, et qui intègre toute la filière depuis la pêche jusqu’au commerce de détail, a dévoilé hier sa nouvelle marque nationale « Pavillon France ». Elle devrait apparaître dans les rayons à partir de septembre prochain. 

Créée en 2010, l’association a pour vocation de promouvoir la consommation de produits issus de la pêche française et d’accompagner les bonnes pratiques, notamment en soutenant une pêche sélective et économe en énergie. Elle vise aussi à valoriser la diversité, la saisonnalité et la qualité des produits de la pêche française. Mais aussi de mettre en avant les poissons, coquillages et crustacés pêchés par les navires battant pavillon français, avec une exigence de fraîcheur optimale. Une campagne télévision de grande ampleur est prévue pour soutenir ce dispositif. Les membres de l’Association France Filière Pêche sont : la FCD (les distributeurs financent pour l’essentiel la filière, notamment Intermarché et Leclerc), les grossistes de la CGI (Confédération Française du Commerce Interentreprises), les unions d’armateurs, de mareyeurs, les syndicats de poissonniers. L'idée de la création de France Filière Pêche est née à l'issue de négociations avec les pouvoirs publics qui ont renoncé, en l'échange de ces actions de promotion pour les pêcheurs, à prélever une "taxe poisson" qui ne touchait que les grandes surfaces.

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Dans la liste de l'Académie du poisson, quel est l'intrus ? Réponse en cliquant sur la photo !



Pour ceux qui n'auraient jamais entendu parler de saumon de Norvège...

Saumon de Norvège : Une alimentation rigoureusement sélectionnée (Norge)

Forts de leur longue expérience en aquaculture, les Norvégiens ont aujourd’hui acquis une parfaite maîtrise des besoins alimentaires des saumons, aux différents stades de leur croissance.

Les saumons de Norvège sont nourris de « pellets », des granulés qui concentrent tout ce qui constitue leur alimentation naturelle à l’état sauvage. Les saumons puisent ainsi leur énergie d’un mélange de farines et d’huiles issues de petits poissons particulièrement riches en protéines et en graisse. Parce qu’ils favorisent le bon développement de l’organisme, vitamines et minéraux sont également au menu. Autre ingrédient indispensable : l’astaxanthine. Il s’agit d’un antioxydant qui apporte au saumon de Norvège la vitamine A dont il a besoin et qui donne à sa chair sa couleur rosée unique. Présent à l’état naturel chez le saumon, tout comme chez le flamant rose et les crevettes, cet antioxydant lui permet de conserver ses précieux oméga-3, qui contribuent à notre équilibre physique et mental.
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Tout comme sa qualité, la quantité de nourriture est rigoureusement contrôlée. Ainsi, les poissons ne reçoivent que ce qui est nécessaire à leur croissance. Pas de gaspillage chez les saumons ! Naturellement, les doses de nourriture sont également ajustées à leur appétit, qui évolue selon les conditions climatiques. En effet, contrairement à nous, le saumon n’a pas faim lorsqu’il fait trop froid !

Pour une totale sécurité, chaque élément composant l’alimentation des saumons bénéficie d’une traçabilité précise et transparente. OGM ainsi que farines animales terrestres n’entrent en aucun cas dans l’alimentation du saumon norvégien. Les antibiotiques, quant à eux, ne peuvent être utilisés que sur ordonnance vétérinaire et autorisation des autorités sanitaires. Les saumons qui en ont besoin sont mis d’office en quarantaine jusqu’à ce que toute trace de médicament ait disparu de leur chair.

Avec le saumon de Norvège, chacun est assuré de déguster un saumon qui a été sainement nourri et élevé.

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Le 11 mai 2012

Une nouvelle méthode de contrôle de la qualité du saumon (BE Norvège)

Le contrôle de la qualité du poisson le long de la chaine de distribution est un point primordial pour les producteurs de saumon. Silje Ottestad [1], doctorante à Nofima (institut de recherche en aquaculture, agriculture et nourriture) [2] a mis au point une nouvelle méthode utilisant la spectroscopie (non destructive).

La technique dite de "superchilling" (super-réfrigération) est une méthode de congélation où seul un faible pourcentage de la teneur en eau du poisson est congelé (-1 à - 2 degrés Celsius). Le produit est ainsi conservé plus longtemps qu'avec une réfrigération classique, et est de meilleure qualité que s'il avait été intégralement congelé. Pour obtenir une qualité optimale de poisson super-refroidi, il est très important de pouvoir contrôler la quantité de glace dans le produit. "J'ai développé une méthode qui permet de déterminer le taux de glace et sa répartition. Les conditions optimales de conservation dépendent du produit : de la taille du poisson, de s'il est entier ou en filets, de l'espèce, etc.", dit Silje Ottestad.

La couleur de la chair est un indicateur précis de la qualité du saumon. "Lorsque l'hémoglobine entre en contact avec de l'oxygène, le sang donne à la chair une couleur jaune ou marron, et la palette de couleur peut-être assez importante.", dit Silje Ottestad, qui a utilisé la spectroscopie pour déterminer la quantité de sang, mais également pour analyser les interactions chimiques causant la variation de couleur.

Des méthodes de mesures spectroscopiques avaient déjà été utilisées auparavant, mais d'importantes différences de précision apparaissaient en fonction de la texture de la chair du poisson. Silje Ottestad a travaillé à éliminer ces différences. "L'objectif est de parvenir à une méthode plus sûre et moins chère, qui pourrait s'appliquer à la viande, au lait, et aux fruits et légumes. Cela pourrait être très utile pour le tri de qualité, par exemple.", conclut-elle.

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Le 9 août 2012

FranceAgriMer et son dossier de presse


FranceAgriMer publie un dossier de presse rassemblant des informations précises sur la filière pêche, ses produits, ses techniques et ses enjeux.

Près de 460 000 tonnes de poissons sont pêchés et débarqués chaque année dans les ports français, pour un chiffre d’affaires supérieur à un milliard d’euros, ce qui fait de l’Hexagone le quatrième producteur européen de produits de la pêche.

Pêcheurs mais aussi pisciculteurs, employés des halles à marée, mareyeurs, transformateurs, grossistes, distributeurs et poissonniers développent au fil des saisons tout leur savoir-faire pour offrir aux consommateurs des produits de qualité conformes à leurs attentes.

Animée par le souci permanent d’être en phase avec les défis économiques, environnementaux et nutritionnels actuels, la filière maritime et piscicole française, en lien avec les chercheurs et les instances communautaires et nationales, se mobilise au quotidien pour concilier une demande croissante et l’amélioration des techniques de production, dans le respect d’une production durable.

Ce dossier de presse a pour ambition de présenter les réalités et les atouts du poisson et des produits issus de sa transformation, mais aussi de mieux faire connaître les activités des filières maritimes et piscicoles en France, ainsi que la façon dont elles relèvent le défi du XXIe siècle.

Observations :

En voulant contenter tous les acteurs des filières « Pêche et Pisciculture » de l’hexagone, FranceAgriMer sort un dossier de presse insipide dans lequel les captures de la pêche française ne sont pas mises en valeur… Pas de Pavillon France !!!

Par exemple :

Quelques conseils pour mieux consommer
  • Acheter des produits de saison (!!!)
  • Varier le choix des espèces
  • Demander conseil à son poissonnier
  • Varier les modes de préparation
  • Lire attentivement l’étiquetage (!)
  • Hors saison, privilégier les conserves (!!!!!)

FranceAgrimer aurait du mettre l’accent sur quelques espèces phares des pêcheries françaises en manque de reconnaissance ou concurrencées par des produits d’importations comme merlu, langoustine, tourteau, chinchard, maigre,… Mieux identifier les produits frais et entiers débarqués dans les criées françaises par rapport aux deux produits leaders sur les étals, saumon et cabillaud, importés de l’Europe du Nord, deux poissons qui vont augmenter leur hégémonie dans les mois à venir avec la hausse conséquente des quotas de cabillaud en mer de Barents (quota de 1 million de tonnes en 2013)…

Les produits de la pêche et de la pisciculture en France
Produits
Techniques
Enjeux

Pour télécharger le dossier de presse : FranceAgriMer


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Le 12 Octobre 2013 : Cible-t-on les produits de la mer de nos ports ?

« Savoureux, frais et faciles à faire... les produits de la mer, ils ont tout pour plaire »

FranceAgriMer lance une nouvelle campagne de promotion pour les produits de la mer : « Savoureux, frais et faciles à faire... les produits de la mer, ils ont tout pour plaire »

En concertation avec les professionnels de la filière, FranceAgriMer, établissement national des produits de l’agriculture et de la mer, lance une nouvelle campagne générique, visant à promouvoir les produits de la mer.

Cette campagne de promotion sera déclinée sur les ondes radio, dans la presse nationale (magazines féminins, culinaires, people) et dans la presse quotidienne régionale (PQR) sur deux périodes de communication (en octobre 2013, puis en janvier et février 2014) sous la signature « Savoureux, frais et faciles à faire... les produits de la mer, ils ont tout pour plaire ».

Goût et simplicité culinaire mis en avant

Cette campagne met en avant les dimensions culinaire et gustative des produits de la mer et la simplicité de leur préparation.

Il s’agit de valoriser la variété des produits de la mer et la diversité de leurs modes de préparation, tout en faisant découvrir différentes façons de les cuisiner, faciles et tendances. Cette nouvelle campagne vise également à « rajeunir » la cible et à développer la consommation des familles avec enfants.

Des médias variés pour toucher un large public

Plus de 430 spots de vingt secondes seront diffusés sur France Inter, RTL, RTL 2, NRJ et Chérie FM, lors de deux vagues de communication : une première vague en octobre 2013 (sur trois week-ends les vendredis et samedis, à partir des 11 et 12 octobre 2013) ; une deuxième vague en janvier et février 2014 (sur quatre week-ends les vendredis et samedis).

Ces spots radio seront complétés par une dizaine de parutions en presse quotidienne régionale, en octobre 2013, en demi-page quadri, sur des grands titres des régions du nord, de l’est et du centre-est, pour développer les intentions d’achats des consommateurs : Metz (Le Républicain Lorrain), Strasbourg (les Dernières Nouvelles d’Alsace), Dijon (Le Bien Public), Grenoble (Le Dauphiné libéré), Lyon (Le Progrès), Lille (La Voix du Nord) et Clermont- Ferrand (La Montagne).

Des parutions sont également prévues en presse magazine en janvier et février 2014 (Cuisine Actuelle, Femme Actuelle, Voici, Télé 2 semaines) pour capitaliser sur l’image des produits de la mer.

Au total, FranceAgriMer a mobilisé près de 800 0000 € – dont 160 000 € financés par l’Union européenne via le Fonds européen pour la pêche (FEP) – pour cette campagne en faveur des produits de la mer, mise en œuvre par les agences Gulfstream et Havas.

Savoureux, frais et faciles à faire..., les produits de la mer, ils ont (vraiment) tout pour plaire.

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Le 5 février 2015

L’industrie du poisson remet son rapport au commissaire européen


De gauche à droite : Aurora Vicente (secrétaire générale AIPCE-CEP), Commissaire Vella, Guus Pastoor (président AIPCE), Andrew Kuyk (vice-président AIPCE), Pierre Commère (vice-président AIPCE), Peter Bamberger (président CEP). Crédit photographique : AIPCE-CEP

Un clin d’œil au Tafta et à tous les accords commerciaux de libre-échange...

Au moment des négociations sur les accords commerciaux avec le Canada et les USA, les importateurs et les transformateurs de poisson se rappellent au bon souvenir du commissaire Vella...

Communiqué de presse de l’association européenne des industries du poisson (AIPCE) et de la fédération des organisations nationales des importateurs et exportateurs de poisson (CEP)

L’AIPCE-CEP dévoile sa nouvelle étude sur le poisson lors d’une réunion avec le commissaire Vella

Lors d'une réunion avec le nouveau Commissaire à l'Environnement, aux Affaires maritimes et à la Pêche, les représentants de l’industrie européenne du poisson AIPCE-CEP ont révélé leur dernière étude sur le poisson « Finfish Study 2014 », un rapport publié chaque année depuis plus de 20 ans.

L'étude analyse le marché des produits de la mer dans l'Union Européenne. Elle « rend compte du rôle que jouent les transformateurs et le négoce dans la fourniture de produits sûrs, durables, pratiques et abordables pour répondre à la demande des consommateurs. »

Au cours de la réunion, le commissaire Vella « a reconnu que les secteurs de la transformation et du commerce des produits de la mer jouent un rôle vital dans l’UE en matière de croissance durable et de compétitivité, notamment en termes de valeur ajoutée, d’innovation et d'emploi. »

En tant que fournisseurs de protéines de qualité, les transformateurs de poisson contribuent plus largement à la croissance bleue et à la sécurité alimentaire.

Le commissaire a reconnu « l’importance d'un approvisionnement régulier et dans le temps pour les matières premières importées afin de soutenir les marchés et de sécuriser les apports auprès des consommateurs européens. » Il a aussi reconnu « la nécessité d'améliorer la traçabilité à toutes les étapes de la filière. »

Il a été convenu « que des réunions soient régulièrement organisées pour s’assurer que le point de vue du secteur soit pleinement pris en compte dans les futures discussions politiques, afin de "maximiser" son potentiel. »


http://aipcecep.drupalgardens.com/sites/g/files/g402611/f/201501/FinFish%20Study%202014_0.pdf

Les chiffres clés de l'étude sur le poisson dans l’UE (*) :
  • marché total de 14,2 millions de tonnes (+ 1,7%),
  • importation de 8,9 millions de tonnes (légère baisse à 63 %),
  • poissons blancs sauvages : dépendance inchangée à hauteur de 89%,
  • poissons blancs : captures communautaires sensiblement en hausse (+ 1%), mais les quotas de pêche en diminution,
  • exportations en baisse de 5%,
  • thon, saumon et cabillaud : consommation respective autour de 1,1 million de tonnes,
  • consommation par habitant : hausse de 0,6 kg,
  • concurrence accrue avec les autres régions du monde.

* Tous les chiffres sont exprimés en équivalent poisson entier

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En Norvège, le Prince Haakon promeut le cabillaud nouveau


Pour en savoir + sur la partie de pêche au Skrei du Prince de Norvège : Gala


La première vague en octobre - novembre correspond à la période des ventes de saumon...

Cabillaud + Saumon représentent 38% des quantités de poissons frais achetés par les ménages français... En se classant à la 4e place des espèces les plus consommées, la truite tire profit de la mauvaise image du saumon...



Illustration extraite de la présentation du marché des produits aquatiques - Conseil spécialisé "Pêche et Aquaculture" du 4 février 2015 de FranceAgriMer : Situation du marché des produits aquatiques

Remarque personnelle : il est étonnant que la consommation de merlu ne décolle pas (elle tendrait plutôt à diminuer) alors que les quotas de pêche ont considérablement augmenté lors des 3 dernières années... 

Pourquoi ne pas cibler les campagnes de promotion sur les captures françaises (comme le merlu,...) ?


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