Meralliance informe ses clients sur le saumon d'élevage !

Que pensez-vous de l'information de Meralliance sur son site internet ?


Meralliance est le troisième saurisseur en France, après le groupe islandais Alfesca (marque Labeyrie) et le groupe norvégien Marine Harvest (marque Kristen,…)

Halte aux idées reçues

Vous avez peut être entendu dire que le saumon d'élevage était moins bon que le sauvage, que le surimi est artificiel, etc... Cette rubrique est là pour mettre le doigt sur vos interrogations et soulever le voile des incertitudes. Alors n'hésitez pas à consulter cette rubrique.
Vous pouvez également nous poser des questions par mail, nous nous chargerons de vous apporter une réponse.

Le saumon d'élevage est-il moins bon que le sauvage ?


Si l’alimentation du saumon sauvage est 100% marine, elle comporte un risque plus important de contamination par les produits toxiques. De nombreuses mers sont en effet polluées par toutes sortes de substances. Il devient alors impossible de garantir la sécurité des produits de la pêche, hormis en imposant des contrôles nombreux et onéreux des poissons, systématiquement, au port.
Par ailleurs, la pêche par capture risque, à terme, de détruire l’écosystème marin.
Les poissons d’élevage présentent alors l’avantage d’avoir une alimentation plus contrôlable en termes toxicologiques. Seul le poisson d’élevage est susceptible de pouvoir être garanti sur le plan sanitaire puisqu’il est possible de mesurer la qualité de l’eau et de l’alimentation des poissons et d’éviter leur contamination. Il est seul en mesure d’apporter aux consommateurs les garanties qu’ils exigent, par une traçabilité fiable.
Le saumon d’élevage, qui a été longtemps critiqué, est aujourd’hui plébiscité puisqu’il répond aux exigences des consommateurs en termes de sécurité alimentaire.

« Vous pouvez manger du poisson d’élevage en toute sécurité »


C’est scandaleux, les pêcheurs ne doivent pas laisser passer ces contre vérités. Beaucoup de consommateurs utilisent maintenant internet pour s’informer et commander leurs produits.

Comment peut-on autant dévaloriser les produits de la pêche alors que le Groupe Méralliance est le premier saurisseur français et que ces ateliers sont en Bretagne, la première zone de pêche fraîche !!!

Que mangent les saumons d’élevage fumés par Meralliance ?
Comme tous les autres poissons d'élevage (bar, daurade, truite, ) du poisson sauvage sous forme de granulé avec beaucoup d’antibiotiques et tout le reste (voir la campagne mondiale contre la salmoniculture industrielle sur Our Global Ocean)
Philippe FAVRELIERE

Information ajoutée le 16 avril 2009 : A ne plus rien comprendre !

Meralliance - Mon écolabel à moi
Le fumeur finistérien crée son propre logo pêche responsable sur la base de 4 critères de sélection de poisson sauvage : la biodiversité, la toxicologie, la fraîcheur des matières premières, la qualité organoleptique.
PRODUITS DE LA MER - 01/04/2009 -

Chiffres-Clés Siège : Quimper (Finistère) / Effectif : 550 salariés / Implantations : deux unités à Landivisiau et Quimper, et un site à bydgoscz, en Pologne / Chiffre d’affaires : 80 millions d’euros en 2008

Pour plus d'informations : "le saumon d'élevage n'est pas du tout aussi "rose" que celui décrit par Meralliance :

Le 15 décembre 2009

Copenhague - Meralliance tente de convertir les distributeurs (Usine Nouvelle)
Un autre conditionnement permettra à l’entreprise de réduire de 25 à 30% son impact carbone.
Le premier fournisseur en saumon fumé de marques d’enseignes multiplie les initiatives «développement durable» pour garder sa place. Il veille à respecter la ressource halieutique ou à réduire l’impact des emballages.

Du développement durable, clé en mains, pour Carrefour, Auchan ou Casino, tel est le credo de Meralliance. Sur un marché disputé du saumon fumé, c’est la stratégie choisie par Gilles Charpentier, le patron de la PME bretonne, pour maintenir sa place de fournisseur numéro un des marques de distributeurs (MDD). En 2004, Meralliance fait réaliser par l’Afnor un diagnostic des démarches déjà engagées. Bilan sans appel : si les aspects de management et d’éthique sont satisfaisants, la PME peut faire beaucoup mieux en matière de biodiversité et de changement climatique. En 2005, elle réalise son premier bilan carbone, trois ans avant que Casino ne fasse sensation au Grenelle de l’environnement en apposant une étiquette carbone sur des produits de sa marque… Ses émissions sont évaluées à 562 grammes équivalent CO2 pour 100 grammes de produits finis. Le bilan met surtout en évidence le fort impact (49%des émissions) de l’amont de son activité : la pêche, la fabrication des aliments et l’élevage. L’emballage compte pour 22%de ses émissions, devant le process de transformation (18%) et le transport (11%). Pour les réduire de 3% par an, conformément aux objectifs français, Meralliance lance alors plusieurs chantiers relatifs aux matières premières. «Ce n’est pas évident, car nous n’avons pas forcément les compétences en interne pour gérer un problème qui ne relève pas directement de notre activité », avoue Jean- François Feillet, le responsable du développement durable. La PME revoit l’ensemble de ses approvisionnements.

Elle décide de se fournir exclusivement de poissons issus d’une pêche ou d’un élevage certifiés par des écolabels. C’est-à-dire dont les techniques de pêche ou d’élevage et la bonne gestion des zones de capture ont été validées. «Nous avons remplacé l’espadon, le flétan et le marlin, soit parce qu’ils sont menacés, soit parce que nous n’arrivons pas à en garantir le taux de mercure», explique Jean- François Feillet. Le groupe cherche aussi à s’approvisionner davantage sur certaines espèces, auprès de la pêche bretonne. Il vient surtout de lancer un ambitieux projet au sein du pôle de compétitivité Pôle Mer Bretagne avec huit partenaires (universités, écloserie, fabricant d’aliments). Objectif : remplacer les farines de poisson issues de la pêche minotière dans l’alimentation des poissons d’élevage par des farines de copépodes, minuscules crustacés marins qui seraient élevés à terre. «Cela pourrait réduire d’un facteur dix l’impact de l’amont dans nos émissions !», se réjouit le responsable du développement durable, qui espère aboutir d’ici à trois ans. Restera ensuite à convaincre les éleveurs norvégiens ou écossais à changer de modèle d’élevage…

Deuxième priorité, réduire l’impact des emballages....

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