La pêche miraculeuse
Jean Stern ; 571, incertitude paysagère, 2015.
Bains des Pâquis. Le Genevois Jean Stern réinterprète la peinture de Konrad Witz
Source : Sud Ouest par Emilien Gomez Publié le 18/07/2015
Sa présence a longtemps égayé le public qui a suivi ses pérégrinations depuis plusieurs mois maintenant. Sur le web et les réseaux sociaux, You, sa bouille et ses relations attendrissantes avec certains surfeurs ont marqué la toile.
Présent aux Pins secs de Naujac-sur-Mer avant-hier, You a poussé les sauveteurs de la commune à déplacer la zone de bain d'une centaine de mètres, pendant qu'un des secouristes surveillait l'animal en train se dorer la pilule.
Un animal sauvage
« Il faut le laisser tranquille »
Un déplacement est prévu
Chasseuse parmi les prédateurs
Valentine Thomas n’est pas une athlète comme les autres. Sa passion? La chasse sous-marine, une discipline unique où elle plonge en apnée, jusqu’à des profondeurs de 30 mètres, en compagnie des plus grands prédateurs de l’océan.
«Tu te lèves à quatre heures du matin, et tu enfiles ton wetsuit qui sent encore le poisson de la vieille », résume Valentine Thomas en riant. Impeccable, même en ce petit samedi matin, il est difficile de l’imaginer dans un tel contexte. Elle est l’une des rares femmes à pratiquer la chasse sous-marine.
Parmi les requins
Deux semaines avant notre entretien, la Québécoise plongeait en Afrique du Sud dans une mer infestée de requins.
«Les requins font partie du sport: on chasse sur leur territoire et ils sont attirés par le mouvement et le sang des poissons qu’on harponne», raisonne la plongeuse. Elle connaît les espèces, en particulier celles qu’elle doit craindre.
«Tu ne dois pas reculer devant un requin. S’il sent que tu as peur, il va te considérer comme une proie», dit Valentine Thomas. Elle me raconte son face à face avec un requin-bouledogue, pratiquement un nez contre nez. Elle avoue avoir reculé...
«C’est entre autres ce que j’aime de la chasse sous-marine: ça te rend modeste», ajoute la femme de 28 ans,
De la peur aux profondeurs
Extrait de Journal de Montréal par Véronique Champagne
«Je suis un saumon», nouvelle devise poétique de Patrick Mohr
Avant lui, en 1998 à Avignon, le comédien français Philippe Avron avait déjà épousé cette destinée marine. C’est à sa nageoire éloquente que l’on doit le texte repris actuellement par le Genevois, élève bien après son prédécesseur du même pédagogue Jacques Lecoq auquel le monologue rend à plusieurs reprises hommage.
Certes, elles ne rivalisent pas encore avec cette fameuse robe qui a excité internet vendredi, mais elles sont énormément partagées sur les réseaux sociaux.
C'est un photographe et surfeur, Jonathan Nimerfroh, qui est l'auteur de ces clichés. "J'ai remarqué un horizon étrange. J'ai vu ces vagues à moitié gelées", explique-t-il au New York Times. "Habituellement l'été, vous pouvez entendre le bruit des vagues. Là c'était absolument silencieux comme si j'avais des boules Quies dans les oreilles".
Un phénomène qui laisse sans voix des glaciologues interrogés par le quotidien américain. "Je n'ai jamais vu de vagues comme celles-ci", explique l'un d'entre eux.
Vous pouvez retrouver (et acheter) les photos de Jonathan Nimerfroh sur son site :
Et pour cause : ces Américains participent à un concours de pêche sous glace. Pendant trois heures, ils tentent tous d’attraper le plus gros poisson.
"On a roulé 18 heures et fait 1 700 kilomètres"
Certains pêcheurs n'hésitent pas à improviser des grillades sur la glace entre amis ou en famille. D'autres sont extrêmement motivés : "On a roulé 18 heures et fait 1 700 kilomètres", détaille une femme. "Moi ce que je veux c'est le plus gros poisson pour gagner le plus gros lot", lance un peu plus loin un pêcheur
La pêche est lancée
« Ce sont vraiment de vrais mordus et il y a beaucoup de monde. Avec le vent, c'était plus difficile pour les tentes et il fait froid, mais les gens s'en foutent. Ils tenaient à tout prix à être là et sont très bien habillés », a commenté Rémi Aubin, joint tard en soirée.
Après le coup d'envoi, prévu pour 12h07, les pêcheurs ont taquiné le poisson de fond. Les trois premières prises ont été récompensées par des prix.
Aussi, tous les participants étaient invités à publier une photo témoignant de leur succès sur Facebook. Ils étaient alors admissibles pour un grand prix d'une valeur 750 $, en l'occurrence un voyage de pêche au lac Ontario pour deux personnes. Plusieurs autres prix de participation ont été offerts. Un quiz pour sensibiliser les pêcheurs à la réglementation et un gâteau sébaste étaient également au programme... Suite dans lapresse.ca
Jean Stern ; 571, incertitude paysagère, 2015. Illustration extraite du Journal des Bains - été 2015 : "L’eau d’ici et l’eau delà"
Du jour où Konrad Witz – le premier dans
l’histoire de la peinture – dispose Dieu dans l’image du réel, il nous
fait accueillir d’un œil neuf le paysage, incertains que nous sommes d’y
voir la Terre promise ou les terres savoyardes (comme l’atteste une
petite bannière) ; l’Alpe romantique ou la rade bien de chez nous ;
l’eau verte et miraculeuse où toujours plongent les saints et les
mécréants ou bien encore notre présent, équivalent à l’année 1444 ou à
l’an 33. Nous, aujourd’hui, 571 ans plus tard, en oscillant à
l’intérieur de la vue que nous a offerte le peintre, nous ajustons
librement notre œil, et faisons la netteté sur des indices de l’histoire
que l’on veut.
Jean Stern ; 571, incertitude paysagère, 2015.
9 panneaux à partir de photographies assemblées avec une reproduction du tableau de Konrad Witz, La Pêche miraculeuse, 1444 (© Musée d’art et d’histoire, Ville de Genève / Flora Bevilacqua)
« La pêche miraculeuse » mise au goût du jour
Bains des Pâquis. Le Genevois Jean Stern réinterprète la peinture de Konrad Witz
L’ancienne
billetterie des Bains des Pâquis accueille une installation de Jean
Stern, qui actualise l’œuvre de Konrad Witz.
La
plupart des promeneurs passent devant sans la voir, et c’est bien
dommage. Sur la façade de l’ancienne billetterie des Bains, en face de
l’entrée, se déroule une insolite confrontation entre passé et présent.
La plus célèbre des peintures genevoises, La pêche miraculeuse exécutée
en 1444 par Konrad Witz, est mise en parallèle avec des photographies
actuelles de la rade 571 ans plus tard. D’où le titre de l’œuvre, 571,
une incertitude paysagère.
Depuis
deux ans, l’Association des usagers des Bains des Pâquis donne carte
blanche à un artiste local pour investir le petit bâtiment. Cet été, il
s’agit de Jean Stern, ancien professeur à la Haute Ecole d’art et de
design de Genève (HEAD). «Lorsqu’on m’a proposé d’intervenir sur cet
emplacement, je sortais du Musée d’art et d’histoire où j’avais admiré
pour la énième fois le retable de Konrad Witz, raconte le plasticien.
J’ai tout de suite pensé à l’utiliser pour mon installation, le point de
vue du peintre se situant non loin du Bain des Pâquis.»...
Suite de l'article de Muriel Grand dans La Tribune de Genève
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Gironde : le phoque You pourrait être capturé et déplacé
Illustration : Le feuilleton "Phoque You" dans Sud Ouest
La présence du phoque sur les plages bouleverse le déroulement de la saison. Il pourrait être déplacé bientôt.
Source : Sud Ouest par Emilien Gomez Publié le 18/07/2015
Sa présence a longtemps égayé le public qui a suivi ses pérégrinations depuis plusieurs mois maintenant. Sur le web et les réseaux sociaux, You, sa bouille et ses relations attendrissantes avec certains surfeurs ont marqué la toile.
Mais aujourd'hui, le phoque de plus en plus imposant sur les plages du littoral girondin, a bien malgré lui bouleversé le début de la saison estivale des baigneurs mais surtout des maîtres nageurs sauveteurs (MNS) qui se retrouvent avec une nouvelle donnée à gérer. Que ce soit à Montalivet, à Hourtin ou encore à Soulac (toutes ces plages ont vu le mammifère marin faire son apparition), ses derniers ont dû redoubler de vigilance pour protéger le public et l'animal d'une cohabitation devenue dangereuse.
Présent aux Pins secs de Naujac-sur-Mer avant-hier, You a poussé les sauveteurs de la commune à déplacer la zone de bain d'une centaine de mètres, pendant qu'un des secouristes surveillait l'animal en train se dorer la pilule.
Un animal sauvage
« Il faut le laisser tranquille »
Un déplacement est prévu
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Chasseuse parmi les prédateurs
Valentine Thomas n’est pas une athlète comme les autres. Sa passion? La chasse sous-marine, une discipline unique où elle plonge en apnée, jusqu’à des profondeurs de 30 mètres, en compagnie des plus grands prédateurs de l’océan.
Immobile, munie de son fusil harpon, elle peut patienter jusqu’à cinq minutes, parfois en compagnie de menaçants requins, avant que son corps ne réclame la surface.
«Tu te lèves à quatre heures du matin, et tu enfiles ton wetsuit qui sent encore le poisson de la vieille », résume Valentine Thomas en riant. Impeccable, même en ce petit samedi matin, il est difficile de l’imaginer dans un tel contexte. Elle est l’une des rares femmes à pratiquer la chasse sous-marine.
Parmi les requins
Deux semaines avant notre entretien, la Québécoise plongeait en Afrique du Sud dans une mer infestée de requins.
«Les requins font partie du sport: on chasse sur leur territoire et ils sont attirés par le mouvement et le sang des poissons qu’on harponne», raisonne la plongeuse. Elle connaît les espèces, en particulier celles qu’elle doit craindre.
«Tu ne dois pas reculer devant un requin. S’il sent que tu as peur, il va te considérer comme une proie», dit Valentine Thomas. Elle me raconte son face à face avec un requin-bouledogue, pratiquement un nez contre nez. Elle avoue avoir reculé...
«C’est entre autres ce que j’aime de la chasse sous-marine: ça te rend modeste», ajoute la femme de 28 ans,
«Tu n’es pas au sommet de la chaîne dans l’océan. Tu es observée et tu le sens. Ils sont là...», décrit celle qui a grandi sur le Plateau Mont-Royal, bien loin de la faune qu’elle côtoie sous l’eau.
De la peur aux profondeurs
Extrait de Journal de Montréal par Véronique Champagne
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Congo. Il pêche un poisson tigre goliath géant
le 19/05/2015 à 07:24 Vu 1678 fois
L'aventurier Jeremy Wade est parvenu à mettre la main sur un poisson tigre goliath long de 1,50m dans le fleuve Congo. Ce n'est d'ailleurs que dans ce cours d'eau que ce poisson peut se trouver. Ce prédateur est capable de s'attaquer aux hommes mais n'a pas peur de se mesurer à d'autres prédateurs comme, par exemple, les crocodiles. Source : Bien public
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Découverte d'un drone portant du matériel nucléaire...
Crédits : lucadp
...sur le toit du cabinet du premier ministre Abe : une nécessité de réformer la loi au Japon
Un petit drone volant (50cm de large) quadri-coptère équipé d'une caméra a été retrouvé sur le toit du bâtiment du bureau du premier ministre japonais Shinzo Abe le 22 Avril. Le premier ministre Abe ne se trouvait pas sur place lors de la découverte de l'appareil puisqu'il effectuait une visite en Indonésie.
Source : BE Japon
Source : BE Japon
Le drone a été trouvé par hasard suite à une visite inhabituelle sur le toit, ce qui signifie que le drone pouvait se trouver à cet endroit depuis un certain temps sans que personne ne s'en aperçoive. Le premier ministre avait toutefois utilisé cet héliport le 22 Mars pour se rendre dans la préfecture de Kanagawa, le drone ne s'y trouvait pas à priori. De plus, ce drone portait un symbole signifiant un danger de radiation, et portait effectivement une charge radioactive, qui émettait heureusement un niveau de radiation faible, d'après la police. [1] La police japonaise reste sur le qui-vive, d'autant que des publications sur Internet planifiant de faire atterrir des drones dans l'enceinte du palais impérial ont été découvertes plus tôt cette année.
L'équipementier qui a fabriqué ce drone "Phantom" (SZ DJI Technologies Co, un fabricant de drone chinois) a indiqué suite à cet accident son intention d'introduire des zones de non vol dans les paramètres de guidage GPS de ses appareils, notamment autour du bureau du premier ministre et du palais impérial.
Une charge radioactive dans le drone
Une petite dose de césium radioactif a été retrouvée sur le drone, qui pourrait d'après des enquêteurs provenir de la centrale de Fukushima N°1. Elle se trouvait apparemment dans un liquide contenu dans un récipient embarqué sur le drone. Le césium ne se trouvant pas dans la nature, les enquêteurs considèrent la possibilité de la provenance de la centrale nucléaire de Fukushima, étant donné les fuites de la centrale. [2]
Un environnement légal non adapté
La découverte de cet appareil soulève des questions légales au Japon, puisqu'un drone n'est pas considéré comme un avion dans les lois sur l'aviation et qu'il n'existe pas de restrictions quant à l'usage de tels appareils en deçà de 250 mètres d'altitude. Les utilisateurs n'ont ainsi pas à prévenir les autorités pour un vol sous cette altitude (à part à proximité des aéroports). [3]...
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«Je suis un saumon», nouvelle devise poétique de Patrick Mohr
Le comédien et metteur en scène genevois s’approprie en musique l’«épopée aquatique» écrite par son précurseur Philippe Avron.
Source : Tribune de Genève Par Katia Berger 23.04.2015
Au milieu des gradins de la Parfumerie, l’arène est une mare. Un étang rond, où trône curieusement un fauteuil Louis-Philippe, et que surplombe un balcon de musiciens. L’œil exorbité, la branchie palpitante et l’écaille polie, Patrick Mohr ondule les pieds dans l’eau. Plus frétillant que jamais, il est un saumon. Son spectacle est un saumon. Nous sommes tous des saumons.
Avant lui, en 1998 à Avignon, le comédien français Philippe Avron avait déjà épousé cette destinée marine. C’est à sa nageoire éloquente que l’on doit le texte repris actuellement par le Genevois, élève bien après son prédécesseur du même pédagogue Jacques Lecoq auquel le monologue rend à plusieurs reprises hommage.
C’est bien connu, le poisson migrateur à la chair rose si prisée commence son existence en eau douce. Né orphelin, il se laisse porter par les tourbillons fluviaux jusqu’à rejoindre la mer, puis l’océan, où il vogue vers la maturité en compagnie de semblables Nemo. Aussitôt titillé par le besoin de se répliquer, il emprunte le chemin du retour, remonte le courant des rivières et de sa vie pour frayer et mourir au lieu même de sa conception. La méiose accomplie, une allégorie tombe toute cuite sur l’assiette du conteur....
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Le loup se jette à l'eau
Les loups gris du Canada délaissent la viande pour le poisson et nageraient sur de longues distances. Deviendront-ils un jour des cousins des phoques ? Gras et abondant, le saumon fait désormais partie du régime alimentaire des loups de la côte nord-ouest de l'Amérique.
Source : Sciences et Avenir Par Morgane Kergoat
Sur les côtes de Colombie-Britannique (Canada), les scientifiques ont découvert un étrange phénomène : les loups gris (Canis lupus) délaissent leurs proies habituelles, essentiellement des cervidés, pour des crustacés et surtout des poissons. Des photographes animaliers, tel le Français Guillaume Mazille, les ont ainsi surpris en train de pêcher des saumons venus frayer dans les fjords à la fin de l’été. Ces poissons gras sont une aubaine pour les grizzlys, qui doivent grossir de 200 kg avant d’affronter l’hiver. Les loups se sont-ils mis à imiter ces derniers ? Compte tenu de leurs techniques respectives, c’est peu probable : les premiers saisissent leur proie avec la patte, tandis que les seconds s’en emparent avec la gueule. Mieux, ces deux grands prédateurs ne mangent pas le poisson de la même façon. L’ours le déchire et dévore les viscères. Le loup, lui, ne s’intéresse qu’à la tête. Une étrange habitude alimentaire qui ne tient ni au goût, ni à des qualités nutritives particulières. Le loup évite tout simplement, de cette façon, d’ingérer un parasite mortel pour lui, le ténia, qu’abrite souvent le corps du saumon. À l’inverse, le grizzly ne s’en soucie guère, puisque le parasite meurt quand son hôte hiberne.
Si ce n’est par mimétisme, on peut alors imaginer que le loup des rivages canadiens se met à l’eau lorsque ses proies habituelles – les cerfs – se raréfient. "Nos données montrent que ce n’est pas le cas", tranche Chris Darimont, chercheur à l’université de Victoria, dans une étude publiée en 2008. Le scientifique explique autrement le phénomène : la pêche du saumon, en eau peu profonde, est sans risque, alors que la chasse au cerf est dangereuse, voire mortelle. "Le saumon fournit également un meilleur apport nutritionnel", poursuit Chris Darimont. On ne trouve nulle part ailleurs un tel cas d’évolution des loups au contact des poissons. Sans doute parce que la Colombie-Britannique abrite un très grand nombre de chinook, le plus gros et le plus gras des saumons.
De futurs mammifères semi-aquatiques ?
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Un quatrième requin-lutin rejoint l’Australian Museum
Il est considéré comme « un fossile vivant, datant de quelque 125 millions d’années ».
Capturé fin janvier par un pêcheur professionnel au large d’Eden, ville située sur la côte sud-est de l’Australie, un requin-lutin, espèce rare de requin préhistorique, a rejoint la collection du muséum national.
D’une longueur moyenne de 3 à 4 mètres, ce quatrième spécimen de l’Australian Museum, un juvénile mâle, mesure, lui, 1,26 mètre et se trouve en parfait état de conservation.
« Le requin-lutin (Mitsukurina owstoni) est réellement atypique de par ses mâchoires qui fonctionnent comme on imaginerait celles d’un alien, explique le muséum. Quand il détecte sa proie, le requin les déploie en avant et les maintient grâce à deux ligaments qui se tendent alors. Puis, ces ligaments se relâchent et les mâchoires se rétractent sous son long nez aplati. »
Pour plus d'explications : Le Marin
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Des photos spectaculaires de vagues glacées aux Etats-Unis
Les photos ont été prises la semaine dernière sur une île américaine située dans l'océan atlantique
Source : Sud Ouest
Source : Sud Ouest
Certes, elles ne rivalisent pas encore avec cette fameuse robe qui a excité internet vendredi, mais elles sont énormément partagées sur les réseaux sociaux.
Ces photos des vagues glacées ont été prises vendredi 20 février sur la petite île américaine de Nantucket située dans l'océan atlantique, au large du Connecticut et du Massachussets. Il faisait -19 degrés selon Huffington Post US.
C'est un photographe et surfeur, Jonathan Nimerfroh, qui est l'auteur de ces clichés. "J'ai remarqué un horizon étrange. J'ai vu ces vagues à moitié gelées", explique-t-il au New York Times. "Habituellement l'été, vous pouvez entendre le bruit des vagues. Là c'était absolument silencieux comme si j'avais des boules Quies dans les oreilles".
Un phénomène qui laisse sans voix des glaciologues interrogés par le quotidien américain. "Je n'ai jamais vu de vagues comme celles-ci", explique l'un d'entre eux.
Vous pouvez retrouver (et acheter) les photos de Jonathan Nimerfroh sur son site :
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Au Minnesota, la pêche sous glace est une tradition
Des milliers d'Americains se retrouvent sur un lac gelé au nord-est des Etats-Unis pour un concours de pêche.
Source : France 2
Quelque 10 000 personnes se sont retrouvées sur un lac gelé du Minnesota, dans le nord-est des États-Unis, début février.
Et pour cause : ces Américains participent à un concours de pêche sous glace. Pendant trois heures, ils tentent tous d’attraper le plus gros poisson.
"On a roulé 18 heures et fait 1 700 kilomètres"
Le principe est simple : chacun dispose d'un trou. Les premiers arrivés sont donc les mieux servis. Munis d'un GPS, il se dirigent alors vers les endroits les plus profonds du lac, là où les poissons sont les plus nombreux.
Certains pêcheurs n'hésitent pas à improviser des grillades sur la glace entre amis ou en famille. D'autres sont extrêmement motivés : "On a roulé 18 heures et fait 1 700 kilomètres", détaille une femme. "Moi ce que je veux c'est le plus gros poisson pour gagner le plus gros lot", lance un peu plus loin un pêcheur
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Histoire de cannibalisme
Lassé de son régime d'huîtres et de palourdes, il va manger son esclave noir...
Aux enchères à Bordeaux : les aventures rocambolesques de Pierre Viaud en 1765
Naufragé sur une île de Louisiane en 1765, il a fait le récit édifiant de sa survie, avec aventures et cannibalisme. Un exemplaire original est mis en vente ce samedi
Source : Sud Ouest
Pierre Viaud était le second du fameux capitaine Saincric. A bord de"L'Aimable Suzette", l'équipage appareille début 1765 du port de Bordeaux pour Saint-Domingue. La maison Schröder et Schyler, qui arme et arraisonne le navire, y fait commerce de vin, d'huile, de farine et de savon. Tombé malade, Pierre Viaud ne peut pas quitter l'île avec "L'Aimable Suzette" pour rentrer à Bordeaux". Il affrète un autre navire, "Le Tigre", avec l'idée de gagner la Louisiane. Mais le brigantine fait naufrage le 16 février 1765 après plusieurs jours de tempête, ne restent que le Bordelais, quelques matelots ainsi que l'officier Desclau, le capitaine La Couture, sa femme et son fils de 15 ans et l'esclave noir de Pierre Viaud. Ils échouent sur une île déserte. Avec poudre, fusils et quelques vivres, les rescapés vivent de chasse et de pêche, rencontrent quelques "sauvages". Les naufragés connaissent moultes aventures, réapprennent à faire du feu avec deux bouts de bois, se battent avec des ours et des caïmans, meurent les uns après les autres, naviguent d'île en île. Las, la pirogue qu'ils construisent s'enfoncent dans la mer, noyant Desclau et La Couture. Dont le fils meurt bientôt. Ne restent finalement que Mme La Couture et Pierre Viaud avec son esclave noir qu'il ne nomme même pas. Et qu'il va tuer et manger pour survivre, lassé de son régime d'huîtres et de palourdes. Jusqu'à ce que les deux derniers survivants soient récupérés par un navire anglais, en mai après 81 jours d'aventures.
Une édition originale de ce récit édifiant paru en 1770 (et plusieurs fois réédité au cours des trente années suivantes) sera vendu aux enchères chez Gérard Cahuzet et Jean-Dit-Cazaux samedi 31 janvier à partir de 11h. Estimation : 300 à 400 euros. La vente est consacrée aux livres anciens, documents et affiches.
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La pêche est lancée
La pêche au poisson de fond est ouverte depuis minuit. Pour les fervents de pêche blanche, il n'était pas question d'attendre la levée du jour, si bien qu'ils ont été nombreux à participer à la Soirée des tentes, hier, sur les glaces de la baie des Ha! Ha!.
« Ce sont vraiment de vrais mordus et il y a beaucoup de monde. Avec le vent, c'était plus difficile pour les tentes et il fait froid, mais les gens s'en foutent. Ils tenaient à tout prix à être là et sont très bien habillés », a commenté Rémi Aubin, joint tard en soirée.
Après le coup d'envoi, prévu pour 12h07, les pêcheurs ont taquiné le poisson de fond. Les trois premières prises ont été récompensées par des prix.
Aussi, tous les participants étaient invités à publier une photo témoignant de leur succès sur Facebook. Ils étaient alors admissibles pour un grand prix d'une valeur 750 $, en l'occurrence un voyage de pêche au lac Ontario pour deux personnes. Plusieurs autres prix de participation ont été offerts. Un quiz pour sensibiliser les pêcheurs à la réglementation et un gâteau sébaste étaient également au programme... Suite dans lapresse.ca
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