Pétition

Débarquons Maud Fontenoy des écoles



Sous couvert d'écologie, des grandes entreprises (Bolloré, Euro RSCG, Havas, Carrefour, Hase, etc.) financent l'association de Madame Maud Fontenoy, la “Maud Fontenoy Foundation”. Les thèses de Madame Maud Fontenoy trouvent un large écho dans les grands médias : soutien du nucléaire, du gaz de schiste, des OGM ou de la croissance. Ces thèses vont directement à l'encontre de tout ce qui a été depuis toujours défendu par les écologistes. Madame Maud Fontenoy revendique elle-même « un message différent sur l'écologie » (France 2, 3-4-2015). L’un de ses livres, on ne peut plus clairement intitulé Ras-le-bol des écolos, a été qualifié de « manifeste éco-capitaliste » par l'association Action Critique Médias (Acrimed, 3-3-2014). Des personnalités médiatiques de sensibilités diverses telles que Natacha Polony, Aymeric Caron ou encore le journaliste écologiste Hervé Kempf, ont dénoncé publiquement ce qu'ils considèrent comme une imposture (France 2, 12-4-2014, Reporterre, 26-3-2015). En effet, le discours développé par Madame Maud Fontenoy vise à cautionner l’idée selon laquelle l’idéologie productiviste et consumériste et la protection de la nature seraient compatibles. On comprend tout l'intérêt de grandes entreprises à financer une telle vision de l'écologie.

Derrière un discours présenté comme « non idéologique », « non partisan », Madame Maud Fontenoy professe son idéologie libérale. Elle est une proche de l'UMP dont elle a été candidate aux élections régionales en Île-de-France derrière Jean-François Copé. Elle fut ensuite un ardent soutien de la dernière campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy.

Aujourd'hui, avec ses « kits pédagogiques », c'est à l'intérieur même de l'éducation nationale que s'immisce insidieusement la “Maud Fondenoy Foundation”. Ces tentatives d'infiltration des établissements scolaires par des grandes entreprises, par l’intermédiaire de fondations, ne sont pas nouvelles. Des associations de protection de l'enfance ou de lutte contre la publicité les dénoncent depuis longtemps. Nous vous rappelons que dès 1936 l’Assemblée nationale a proclamé l’interdiction absolue de toute publicité à l’école. Ce principe protecteur de l’enfance a été sans cesse réaffirmé, témoignant ainsi de l’existence d’un véritable consensus national sur cette question. Nous vous rappelons le devoir de neutralité de l'école. La “Maud Fontenoy Foundation” et ses sponsors n'y font pas exception. Ils n'ont rien à faire dans les établissements scolaires. Nous vous demandons leur exclusion immédiate des écoles, collèges et lycées.

Cliquez Ici pour signer la pétition

Revue de presse :

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"Laissez-le dans le sol" (Keep it in the ground)



La fondation Gates sous pression pour exclure les énergies fossiles de ses investissements

Le quotidien britannique The Guardian fait campagne pour convaincre la fondation Gates d’exclure les énergies fossiles de ses investissements. En quelques jours seulement, sa pétition a recueilli près de 100 000 signatures. Le message est simple : à quoi bon vacciner des enfants et financer le développement si vous financez les entreprises qui ruinent l’avenir de la planète ? Une contradiction assumée jusque-là par la Fondation.

Avec sa campagne intitulée "Laissez-le dans le sol" (Keep it in the ground), le quotidien britannique The Guardian se lance dans un journalisme citoyen. Il appelle à signer une pétition pour demander aux deux plus grandes fondations mondiales de cesser d’investir dans les énergies fossiles.

Alan Rusbridger, rédacteur en chef du journal, s’en explique : "Nous ne pouvons pas brûler le pétrole encore sous terre sous peine de voir le réchauffement climatique s’aggraver de façon irréversible. Nous faisons cette campagne parce que nous avons la ferme conviction que cela va aider à mettre le sujet à l’agenda des conseils d’administration et des mécènes qui ont des dizaines de milliards à leur disposition pour changer les choses."


Pointer les incohérences des fondations

Suite dans Novethic

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Pétition. Pacte pour le maintien de la petite pêche à Concarneau

La pêche professionnelle fait partie de l’identité même de la ville de Concarneau. Malheureusement depuis de nombreuses années, le nombre de navires de la petite pêche diminue. Les marins pêcheurs sont soumis à de nombreuses difficultés comme le faible nombre d’acheteurs sous la criée de la ville, des structures portuaires vieillissantes et mal adaptées ou encore l’augmentation du coût du carburant.

Pour ne pas voir le port de Concarneau se vider de ses bateaux de pêche, nous souhaitons redonner à la petite pêche une place de premier choix. Cela permettra de faire revenir de nombreux bateaux et d’accroître l’activité touristique concarnoise.

Nos demandes

Société d’économie mixte

Nous souhaitons la création d’une SEM (société d’économie mixte) dont la ville de Concarneau et Concarneau Cornouaille Agglomération seront les actionnaires majoritaires. A l’image de celle du port de Kéroman à Lorient, la SEM pourra développer des plans de financement pluriannuels afin de moderniser le port de pêche pour donner un avenir aux marins pêcheurs concarnois. Il est temps que les habitants de la ville se réapproprient leur port et défendent une part de leur histoire !

Modernisation de la criée

La criée de Concarneau est aujourd’hui mal adaptée pour les acteurs de la petite pêche. Nous souhaitons que des améliorations soient apportées afin de faciliter le travail des marins pêcheurs comme la possibilité d’y stocker des crustacés en vivier ou sous brumisateur d’eau de mer ou d’y déposer la pêche à toute heure.

Vente directe

La petite pêche prélève peu, elle a donc besoin d’obtenir de meilleurs prix sur une part de sa production afin de survivre. Nous souhaitons le financement de la part des instances publiques de tables de vente pour que les équipages puissent vendre en direct poissons, coquillages et crustacés. De nombreuses villes du littoral français ont mis ce type d’installation en place et ont vu s’accroître la fréquentation touristique sur leurs ports et ont permis aux entreprises de la petite pêche de se maintenir.

Réhabilitation des bâtiments portuaires

Nous demandons à ce que les marins pêcheurs soient associés aux projets de réhabilitation des bâtiments situés sur le port de pêche. Nous souhaitons que soient maintenus et remis en état les magasins de marée afin que les professionnels (pêcheurs, mareyeurs, poissonniers, conserveurs…) puissent y développer leur activité. La création d’activités touristiques sur ce site ne peut se faire sans les marins pêcheurs. Nous avons aussi des idées et nous soutenons le projet d’un restaurant coopératif de produits de la mer qui bénéficierait à tous.


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Pétition : Stop au clapage des boues de Loctudy

Arrêt immédiat des clapages en mer !

Pétition du Comité Départemental des Pêches Maritimes et des Elevages Marins du Finistère
    
Nous, marins pêcheurs de langoustines du Finistère, associés avec le Comité Départemental des Pêches du Finistère et du Comité Régional des Pêches de Bretagne, demandons l’arrêt immédiat des clapages en mer !

Nous rappelons aux instances que cette zone (au sud du port du Guilvinec, 29) a toujours été notre lieu de travail. Nous constatons, depuis le début des travaux, que les promesses d’une vase, homogène, fine, dispersée et surtout sans déchets ne sont pas respectées.

Nous ne voulons pas uniquement servir de faire-valoir à la communication d’une politique territoriale souhaitant se tourner vers la mer.

Nous exigeons donc le respect des marins, de notre métier et des territoires maritime !

Pétition adressée à :
  • Conseil Général 29
  • Préfecture du Finistère
Cliquer Ici pour demander l'Arrêt immédiat des clapages en mer !

Pour plus d'explications : Clapage. Opération sauvetage de la "Demoiselle" du Pays bigouden

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Cambodge pour un salaire vital


Phoques du Canada, Phoques du Bangladesh, Phoques du Cambodge...

Droit animal / Droits humains

Les phoques du Canada. Militante écologiste ou pas, il ne viendrait pas à l’idée de Vanessa Paradis de porter un manteau en peau de phoque du Canada... Militante des droits humains ou pas, Vanessa Paradis porte sans sourciller les robes du « géant suédois H&M... pour incarner sa collection Conscious 2013, composée de pièces bohèmes éco-responsables. » Pourtant, ces robes sortent tout droit des usines asiatiques dans lesquelles les ouvriers-ères vivent des conditions de travail inhumaines comme nous le rappelle la catastrophe de l’usine textile au Bengladesh...  

Les phoques du Pas-de-Calais : Colère anti-phoque des pêcheurs, un collectif de défense se crée

La prolifération des phoques menace la faune et la flore de la côte. Un message relayé par un nouveau collectif de défense contre la prédation des phoques, né samedi matin à Cucq. Regroupant des pêcheurs à pied, des pêcheurs professionnels ou de plaisance, le collectif proteste contre la pression des mammifères marin, jugée trop forte, sur l’écosystème de la côte. Force de protestation, le collectif se veut aussi une force de proposition à travers Fabrice Gosselin et Pierre-Georges Dachicourt. (Source : Voix du Nord du 7 avril 2013)

Les phoques du Bangladesh. Que nous soyons militants ou pas du droit animal et/ou des droits de l'homme, Guy konopnicki nous interpelle dans une chronique de Marianne : « Les phoques du Bangladesh »


En tant que militant des droits humains, je vous invite à signer la pétition de Peuples Solidaires : Cambodge, pour un salaire vital
H&M au Cambodge : l’UNconscious collection

Alors qu’H&M fait la promotion, avec Vanessa Paradis, de sa Conscious Collection, ligne de vêtements « socialement et écologiquement soutenables », des centaines d’ouvrières perdent connaissance dans les usines qui confectionnent ses vêtements au Cambodge, faute d’un salaire suffisant pour se nourrir correctement. Signez cet Appel Urgent pour que celles et ceux qui travaillent pour H&M, Gap, Zara et Levi’s reçoivent un salaire minimum vital.

« Nous voulons que [nos clients] puissent être sûrs que tout ce qu’ils achètent chez nous est fabriqué dans le respect des êtres humains et de l’environnement »(1), proclame Karl-Johan Persson, le PDG de H&M. Avec sa collection « Conscious » (conscient), la marque communique haut et fort sur sa responsabilité sociale et écologique. C’est à se demander… si H&M est vraiment « consciente » des conditions de travail des ouvrières et ouvriers qui fabriquent ses vêtements au Cambodge.

Sous-alimenté-e-s et surmené-e-s

Au Cambodge, les produits de la confection représentent plus de 85 % des exportations totales de marchandises du pays. Mais cette industrie ne profite pas à tout le monde : maintenu-e-s dans la pauvreté par des salaires de misère, les ouvriers-ères s’épuisent à la tâche. Plus de 2 900 cas d’évanouissement par épuisement ont ainsi été recensés depuis 2011, dont plusieurs centaines dans des usines où H&M se fournit. Le phénomène a pris une telle ampleur qu’il a été largement médiatisé dans le pays.

Les organisations locales en lutte

Sur place, les travailleurs-ses s’organisent. Il y a deux ans, plus de 200 000 personnes prenaient ainsi part à d’immenses grèves pour protester contre les mauvaises conditions de travail et les salaires insuffisants. Depuis, les syndicats continuent à se battre pour que le salaire minimum légal atteigne 115 euros. Le 21 mars, à l’issue de négociations tripartites, celui-ci a été porté de 47 à 57 euros, bien en-deçà des 215 euros dont un-e ouvrier-ère cambodgien-ne et sa famille ont besoin, pour assurer leur besoins fondamentaux, selon l’Asia Floor Wage Alliance. D’autant que ce salaire minimum perd chaque année de sa valeur réelle à cause de l’inflation.

H&M, Gap, Levi’s et Zara : une responsabilité considérable

Contrairement à d’autres pays, le Cambodge dispose d’atouts pour que la situation change : le taux de syndicalisation est élevé et l’Organisation internationale du travail (OIT) y pilote un programme d’amélioration des conditions de travail. Mais pour que la situation des travailleurs évolue réellement, il est indispensable que les grandes marques de prêt-à-porter qui se fournissent dans le pays modifient leurs pratiques, en cessant la pression à la baisse exercée sur les coûts et les délais de production.

H&M, Gap, Levi’s et Zara font partie des principaux acheteurs d’habillement au Cambodge. Avec des bénéfices qui se chiffrent en milliards d’euros – 2 milliards pour H&M en 2012 – ces entreprises ont les moyens de verser un salaire décent à celles et ceux qui fabriquent leurs produits.

A nous d’agir

« Les consommateurs ont un pouvoir de pression considérable, particulièrement dans les pays occidentaux » explique Phork Hoeurng, coordinatrice du Centre d’information des travailleurs.

En tant que citoyen-ne-s et consommateurs-trices, exigeons des marques qu’elles versent un salaire décent aux travailleurs cambodgiens. Signez cet Appel Urgent et diffusez-le à vos contacts !

Consommer équitable, c'est pourtant simple... : Quinzaine du commerce équitable du 4 au 19 mai 2013 et Plateforme pour le commerce équitable

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    Pétition : Pour amender l'interdiction de rejet.

    Auteur : UNSMP, Dachicourt Bruno

    À l'attention : des parlementaires européens.

    Après le vote de principe du Conseil Européen des Ministres de la Pêche, la commission pêche du Parlement européen a voté le 18 décembre dernier en faveur de la proposition de la Commission Européenne visant à interdire les rejets. Une telle proposition, bien que séduisante au regard du développement durable et en apparence simple, est néanmoins totalement inapplicable en l’état car elle est la preuve de la méconnaissance totale de ce secteur économique.

    C’est pourquoi, les professionnels de la pêche s’y opposent pour les raisons suivantes :
    • la règlementation européenne actuelle en matière de sécurité des navires (capacité de charge des navires), en matière de règlementation des pêches (respect du règlement sur les mesures techniques et des quotas) et en matière sanitaire ne le permet pas.
    • le mode de rémunération des marins pêcheurs et la législation sociale ne le permettent pas également. Tout travail méritant salaire, il n’est pas concevable de demander à des marins de travailler, trier, stocker du poisson sans contrepartie financière.
    • toute réduction des rejets doit passer par un effort en matière de sélectivité et de gestion fine des pêches, efforts que les professionnels ont entrepris volontairement ces dernières années mais cela demande du temps et des moyens financiers importants.
    • les Etats qui appliquent une interdiction des rejets dans le monde, le font de manière très limitée, et non globale. Leur expérience doit servir à mettre en œuvre au niveau européen, une politique réaliste, mesurée, qui vise à faire de ce secteur productif un secteur dynamique, durable, pourvoyeur d’emplois et de richesse le long des côtes européennes.
    C’est pourquoi, avant de vous prononcer pour ou contre l’interdiction des rejets, l’ensemble des signataires de cette pétition tenaient à vous rappeler quelques éléments essentiels de ce débat.

    Pour signer la pétition, cliquer Ici

    Créé le 14/01/2013 - Fin le 31/01/2013

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    Action 2. Thaïlande : Révolte des travailleurs de la crevette !!!
    L’ITF soutient une pétition contre la « servitude pour dette »
    Source : ITF (International Transport workers' Federation) ou Fédération internationale des ouvriers du Transport

    L’ITF s’associe à UNI Global Union pour soutenir une pétition demandant au géant de la distribution Walmart d’ouvrir une enquête après les graves accusations dont font l’objet certains de ses fournisseurs en Thaïlande.

    La pétition, qui jusqu’à présent a permis de recueillir 98 000 signatures, a été lancée après une révolte des travailleurs étrangers d’une usine de transformation de crevettes en Thaïlande, qui affirment que leurs passeports leur ont été confisqués et que leurs salaires ont été fortement diminués – les laissant en situation de dette envers l’employeur et de servitude.

    Liz Blackshaw, responsable du programme conjoint ITF/UITA From Catcher to Counter, a déclaré : « Ces allégations sont profondément dérangeantes et appellent une réponse urgente. Walmart doit agir maintenant pour qu’un contrôle indépendant ait lieu rapidement dans ces usines. »


    Pour en savoir plus sur le programme From Catcher to Counter : www.itfglobal.org/fish/index.cfm.

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    Action 1 (Bien qu'issue d'Espagne, elle concerne aussi la France)

    [Cyberaction] Nous ne voulons pas de crevettes tachées de sang

    L’Espagne, la France et l’Italie sont des grands importateurs de crevettes cultivées sous les latitudes tropicales. Une industrie barbare qui provoque la pauvreté et des conflits armés.

    Pétition + lettre à envoyer aux principaux distributeurs espagnols (plusieurs interviennent en France) : Pescanova S.A., Grupo Amasúa S.A., Freiremar S.A., Frigoríficos Delfín S.A., Gambastar S.A., Ibérica de Congelados S.A., Confremar S.A., Froxá S.A. et Jaime Soriano S.A.

    Pour accéder directement au site Ecologistas en accion, cliquer Ici

    Nous ne voulons pas des crevettes tachées de sang

    La mangrove est un des cinq écosystèmes naturels le plus productif au monde. Elle accomplit des fonctions écologiques, sociales et économiques qui portent des bénéfices aux zones côtières et à ses populations. Dans le monde, cet écosystème assure un revenu à des millions de personnes, mais l’industrie aquacole de crevettes a provoqué la destruction de vastes étendues de forêt de mangrove, la pollution des zones humides, des rivières et des estuaires, et a causé une grande perte de la biodiversité, augmentant ainsi l’appauvrissement et la faim dans ces zones où elle s’est installée. 

    Plus précisément, en Equateur, la survie de près d’un million de familles de pêcheurs artisanaux et de ramasseurs de coquillages dépend de la mangrove. Malgré son importance et cela dans un cadre politique de zone naturelle réglementée et protégée, plus de 70% de cet écosystème a été détruit et remplacé par des piscines pour l’élevage industriel de crevettes.

    Mais le mal de l’industrie aquicole ne s’arrête pas là. Dans de nombreux pays, les populations affligées par ce problème, ont essayé de résister et de protester contre l’expansion de cette industrie. Ces contestations ont provoquées, à l’Equateur, en Honduras, au Nicaragua, au Guatemala, en Inde ou au Bangladesh, la mort des pêcheurs locaux et d’autres habitants des zones côtières, tués par les gardes de sécurité des entreprises aquacoles.

    En plus on enregistre dans les endroits où se trouvent ces industries, des cas répétés d’agressions, d’emprisonnements irréguliers, de tortures, de menaces, ainsi que l’harcèlement, la disparition et le viol de femmes.

    Beaucoup d’entreprises industrielles de crevettes, certifiées comme écologiques, ne respectent pas les standards liés aux responsabilités sociales, ni les droits de l’homme, en cachant une fois de plus, la réalité qui se trouve derrière la production de crevettes industrielles.

    L’Espagne, la France et l’Italie sont les principaux importateurs de crevettes de l’Union Européenne. Nous ne voulons pas que nos supermarchés commercialisent ces crevettes (certifiées ou non) qui proviennent d’une industrie barbare qui menace quotidiennement la vie d’hommes et de femmes pêcheurs et ramasseurs de coquillages des pays pauvres. 

    Derrière la production de l’aquaculture industrielle de crevettes aux tropiques figurent des histoires qui ne peuvent être ignorées, et laissent une trace causée par la production de crevettes, qui est celle de la destruction d’un territoire et de l’appauvrissement d’un peuple.
    Pétition + lettre à envoyer aux principaux distributeurs espagnols : Pescanova S.A ., Grupo Amasúa S.A ., Freiremar S.A ., Frigoríficos Delfín S.A ., Gambastar S.A ., Ibérica de Congelados S.A ., Confremar S.A ., Froxá S.A . et Jaime Soriano S.A.

    Cliquer Ici pour plus d'informations et participer à la Cyberaction "Nous ne voulons pas de crevettes tachées de sang"

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